1. Banquière perverse (2)


    Datte: 04/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... spécialisés ; elle ressemble à une laisse pour chien avec un petit collier pour pouvoir entourer les testicules. Yeux bandés, les mains attachées dans le dos et guidé par la laisse ; je n’ai guère d’autres choix que d’aller là où l’on m’emmène. De l’air chaud s’engouffre dans le bureau climatisé, nous sommes sûrement dans un couloir. — Avance, suis-moi et ne crains rien ; il n’y a plus personne dans la banque. Nous allons au garage. Effectivement, une porte s’ouvre en grinçant et je sens l’odeur si caractéristique des parkings souterrains. Au loin, le crissement des pneus d’une voiture ; mon cœur s’emballe, m’a-t-on vu ? Mais le bruit de l’ouverture d’un hayon électrique me ramène à ma situation. — Monte et allonge-toi, tu es tout juste bon à faire le voyage dans le coffre, me dit ma belle accompagnatrice. Je réussis à m’installer tant bien que mal dans le coffre qui se referme sur moi. Elles vont m’emmener, mais vers où ? Peut-être chez elles, je ne sais pas. Un bruit de portière, des voix étouffées et des rires, puis la voiture démarre et roule un long moment. Et moi, couché en chien de fusil dans le fond du coffre, je compte le temps. Nous roulons un bon moment, le temps me parait une éternité, je sens la voiture rouler sur du gravillon, puis s’arrêter. Le coffre s’ouvre, de l’air frais entre dans le coffre ; je respire. Pas un bruit et cet air qui sent le frais ; juste le chant des oiseaux pour rompre le silence. — Issam, tu peux sortir. Gladice ! Viens récupérer un ...
    ... colis ; j’ai du travail pour toi. — Oui, Madame, j’arrive. Hors du coffre, la fraîcheur du soir me fait frissonner ; on m’ôte le bandeau et une fois que mes yeux sont à nouveau habitués à la lumière du jour, je peux découvrir la fameuse Gladice. En face de moi, une charmante jeune femme habillée en soubrette avec une mini jupe extrêmement courte et un chemisier presque transparent. Elle fait une petite révérence à Madame et m’envoie un sourire moqueur. — Gladice, as-tu respecté la consigne ? demanda Madame Shirine. — Oui, Madame, je suis entièrement nue dessous, vous voulez vérifier ? — Non, je te fais confiance. — Et lui, c’est qui ? — Un très mauvais client pour ma banque, je vais le garder comme homme à tout faire le temps qu’il comble sa dette. — Mais pourquoi est-il nu ? Il est horriblement poilu. — Justement, tu vas te régaler ; épile-le entièrement. — Tout ? — Oui, tout, de la tête aux pieds ; je ne veux pas voir un seul poil dépasser. — Merci Madame, alors on y va. — Mais, Madame…ose-je. — Issam ! Si vous aviez lu votre contrat, vous le sauriez ; alors exécution. Je commence à regretter amèrement de ne pas avoir lu ce maudit contrat. Gladice prend la laisse et tire dessus ; mon érection est retombée et je sens mes bourses s’allonger sous la traction. Les graviers de la cour de cette belle demeure bourgeoise me rentrent dans la plante des pieds. Je peux admirer le beau jardin dessiné comme celui du château de Versailles, mais après avoir évité le perron de la maison, nous ...