Banquière perverse (2)
Datte: 04/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... mousse commence à me piquer de partout, mais malgré tout, je suis excité de me découvrir imberbe ; je compte le temps. Enfin elle revient. — Ça va ? — Ça pique de partout… — C’est normal, je vais arranger cela. Elle se dirige vers le tuyau d’arrosage, ouvre la vanne au mur, se saisit de la poignée et appuie sur la gâchette. Un jet plat et fin en sort ; il a l’air puissant. — Ferme les yeux et accroche-toi, me dit-elle. Je sens un jet puissant me frapper la peau, les gouttes fines me piquent ; je serre les dents et je m’accroche. Avec minutie, elle passe le jet, insiste à certains endroits. Quand elle arrive à mes testicules et mon sexe, c’est un véritable supplice ; j’ai l’impression que les gouttes d’eau rentrent sous ma peau. Enfin le supplice s’arrête ; elle me regarde sous toutes les coutures, fait descendre mes bras et me détache. — Bien ! Quelques retouches et ce sera parfait. Mets-toi à quatre pattes et fesses bien écartées ; Madame exige que les gens soient toujours parfaitement propre à cet endroit. Je vais te montrer comment faire. Elle reprend le jet et le règle pour qu’il soit plein et puissant puis elle le dirige vers mon anus. Montrer cette partie de mon corps à cette inconnue me mets un peu en colère car je ne montre jamais cette partie. Moi, je préfère regarder et toucher celle des femmes alors, avec beaucoup de réticence, je lui expose mon anatomie. smpsoozq — Ne sois pas timide car au vu de ce que je sais, tu n’as pas fini de le montrer ton petit trou. — ...
... Comment cela…que sais-tu ? — Je ne devrais pas te le dire, mais d’après ce que j’ai pu entendre, je crois qu’elles ont envie de réaliser un de leur fantasme. — Et c’est quoi ? — T’exploser le trou du cul ! — Mais elles sont folles ! — Non, très perverses ; mais tu devras faire avec, voilà tout. Et puis la remise en ordre de ton compte vaut bien quelques petits sacrifices, non ? Pendant ce temps le jet plein faisait le grand nettoyage de mon intérieur. Cette opération terminée, nous passons à une partie plus agréable. Séché, elle m’étale généreusement de la crème apaisante ; le feu de l’épilation s’estompe et elle me remet la laisse. Gladice ouvre une porte qui donne sur un escalier montant, il est carrelé, clair et une odeur de café semble venir du haut. Nous montons, elle devant, à chaque marche elle me dévoile sa croupe nue ; elle a un joli petit cul ! Elle ouvre la porte qui débouche dans un grand hall dont les murs sont tapissés d’immenses miroirs. Je peux apercevoir le mec imberbe que je suis, tiré par les couilles par cette magnifique servante qui m’a exposé sa croupe durant la montée de l’escalier. Je suis complètement ridicule dans cette tenue et cette situation ; je ne sais pas où je vais avec cette histoire de contrat, mais je suis certain que tout ne va pas être que plaisir. Nous entrons maintenant dans un vaste salon où Madame et sa fille nous attendent en buvant un café. — Ah, vous voilà enfin ! Gladice, montre-nous ton travail. — Voici, Madame ; j’ai fais de mon ...