Le procès
Datte: 04/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
magasin,
cérébral,
facial,
Oral
pénétratio,
délire,
fantastiqu,
... d’intérêt plus passionnant. Au bout d’un temps, elles firent silence et j’entendis des coups de talons, sur le sol, accompagner en rythme mes coups de reins. Ferra hurlait des insultes, se déhanchait dans tous les sens, proposait à d’autres photos de venir l’aider à jouir. Les coups de talons étaient de plus en plus rapides et je me sentis obligé de suivre leur rythme. Et, alors que je ne pensais plus qu’à me laisser aller, son corps se crispa brusquement et je fus pris dans l’étau de ses genoux. Je m’immobilisai. Elle s’apaisa doucement, se contracta de nouveau puis se détendit presque aussitôt en poussant un long soupir. — Bien, c’était très bien, dit-elle dans un souffle. Maintenant, mets-la-moi dans l’autre trou. Je sursautai malgré moi, alors qu’elle essuyait les dernières traces de sperme qui lui restait au visage. Pourtant, je l’avais rêvé, ça aussi. — Sodomise-moi, supplia-t-elle.— Non.— Encule ta prof !— Non, non, non, non.— MAINTENANT ! Je retirai vivement ma queue de son sexe et, comme je la tenais par les hanches, je la rejetai et elle glissa de son bureau pour s’affaler, fesses en l’air, sur les photos. — J’ai dit : NON !!! Une main se posa sur mon épaule par derrière. Le directeur ?… La directrice. Femme d’une quarantaine d’années, le corps sec comme une momie. — Dans mon bureau, jeune homme.— Oui, Madame.— Alors comme ça, on se permet de malmener son professeur ?— Elle voulait que je l’encule.— Tu as refusé, je vois. Pourquoi ?— Pourquoi ?— Oui, pourquoi ?— ...
... Parce qu’elle est folle.— C’est toi qui es fou.— Pourquoi ?— Tu es intelligent— Comment vous le savez ?— Doué, même.— Vous êtes intelligente.— Pourquoi dis-tu ça ?— Parce que je suis doué d’intelligence.— Infirmière, faites entrer Mademoiselle Ferra. L’infirmière entra en tirant Ferra, totalement nue, par une laisse maintenue à son cou par un collier de cuir noir. — Cet élève nous dit que vous êtes folle. C’est vrai ?— À chaque fois qu’il se branle en pensant à moi, je deviens folle, Madame. C’est arrivé souvent, vous savez.— Cela ne m’étonne pas. Tu es obsédé, jeune homme. Ferra te fait bander parce que tu rêves d’elle à poil et soumise. Tu veux soumettre ton prof. Je suis sûr que tu as préféré lui jouir en pleine gueule que de la baiser. Tu aimes que les femmes qui ont de l’autorité soient soumises !— C’est faux !— Pourquoi le nier ? Pourquoi nier ta nature profonde ? Tu es incapable de respecter une femme. À chaque fois, tu veux la prendre par-derrière, en position de force. De leur coté, l’infirmière et Ferra s’embrassaient furieusement. La blouse de l’infirmière était déjà pratiquement déboutonnée. Ferra lui tordait le téton droit, ce qui semblait être apprécié. — Regarde-la, c’est comme ça que tu l’imagines ! Bête de sexe. Incapable de se retenir.— Vous êtes fou, dis-je.— Comment oses-tu ?— Gros.— Grosse !— Gras.— Grasse !— La cravate !— La cravate ?— La cravate est rouge, toujours rouge. Le directeur ne met jamais de cravate bleue.— La directrice !— Teur ! Je suis doué, ...