La Roseraie
Datte: 05/03/2019,
Catégories:
couple,
inconnu,
copains,
piscine,
fête,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
facial,
Oral
nopéné,
jeu,
attache,
yeuxbandés,
journal,
... Puis il s’agenouille, fait tomber le paréo. Sa langue écarte la toison. Caroline halète et ferme les yeux. Regarde-moi, Frédéric ! Tout à l’heure tu seras devant moi. Mais c’est Anthony, en attendant. Je garde closes les lèvres. Il aspire trop brutalement les pointes de mes seins qui luisent encore de la salive d’Olivier. Puis c’est à mon clitoris qu’il s’attaque. Je ne déteste pas mais c’est Frédéric que je regarde. Olivier ? Je le vois plus jaloux de mon regard que de ma chatte que lèche Anthony. Pas bête, Olivier ! Nicolas. Expert. Aspire avec douceur. Cherche à me faire jouir, n’y parvient pas. Frédéric devant Aurélie. Qu’il se dépêche ! Mais non, il prend tout son temps. La bouche. Les mamelons qu’il gobe comme bonbons, mais quel salaud ! Et le minou qu’il lèche. Pas trop longtemps, mais quand même… Bon, sa femme, maintenant. Ça va, il connaît, inutile qu’il s’attarde. Il la retrouvera, sa femme, qu’il a reconnue, évidemment. Un très bref bisou sur les poils du minou, puis un retour sur la bouche pour un baiser conjugal. Sans plus. À moi, Frédéric ! Que va ressentir Caroline, quand son compagnon, à genoux devant moi, disposera de moi ? Connaît-elle ce genre de plaisir mêlé de souffrance, délicieusement pervers ? Oh, comme tout le monde, sans doute… Quel bonheur parce que Frédéric commence par ma cheville droite ! Il cherche la présence de la fine chaînette d’or que je suis la seule à porter. Ah, sa langue sur ma cheville puis ses lèvres qui remontent sur mon genou, ma ...
... cuisse, puis l’autre, et plus haut, plus haut. Ce si long baiser, sa langue, ses lèvres qui aspirent le bouton de rose. Divine petite mort ! Il sourit quand il se relève et cherche mes lèvres d’en haut. Il n’a même pas touché à mes seins. Je retrouve sur ses lèvres le goût de ma cyprine. Cruellement, Julie me place ensuite de manière à ce que je sois la première à être livrée aux investigations de Cédric. Il me maltraite les tétons, tente quelque chose du côté de ma chatte, qui ne veut pas de lui. Je suis dans un état second. Frédéric, Frédéric. Pause avant la seconde partie du jeu. Chacun a naturellement reconnu sa chacune. Toilettes, salle de bains. Nous avons toutes remis nos serviettes en paréo. Les hommes semblent ne plus bander mais doivent avoir mal. David m’a dit un jour que bander trop longtemps "sans rien faire ensuite" finissait par être douloureux. Pauvre David ! Que j’étais sotte ! Quelle peur idiote ! Mais j’étais jeune… Et pimbêche, oui, peut-être, en fin de compte. On peut très bien aimer un homme et être contente à l’idée que c’est au tour des filles d’être aveuglées, les mains liées dans le dos, à genoux devant cinq garçons, dont celui qu’on aime et un autre qui nous plaît déjà. En position, les hommes ! Julie désigne d’abord Sandrine. Elle sait qu’elle fera descendre les serviettes, ce que d’autres n’auraient peut-être pas osé faire. Moi je ne l’aurais pas fait pour Nicolas. Pour les autres ? En tout cas pour Frédéric, oui ! Et pour Olivier aussi, quand même. ...