1. La Roseraie


    Datte: 05/03/2019, Catégories: couple, inconnu, copains, piscine, fête, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral nopéné, jeu, attache, yeuxbandés, journal,

    ... Sandrine fait bander Olivier tout à fait convenablement. Elle a mordillé ses petits tétons, tiré sur les poils follets de sa poitrine. Elle lui lèche gentiment les couilles, passe une langue experte et gourmande sur la hampe dont j’ai l’usufruit depuis presque deux ans. Exclusif, cet usufruit ? Hier encore, si j’en avais douté, je serais morte. Maintenant… Qu’il s’amuse, Olivier ! Mais Frédéric, ah ! Je veux que Frédéric tout à l’heure se répande dans ma bouche et dans nulle autre. Il me semble qu’Olivier n’a pas joui. Pendant que Sandrine s’affaire sur le si beau sexe de Frédéric, ce dernier ne me quitte pas des yeux. Christelle, Aurélie. Touchantes de maladresse, mais si jolies ! Vous préparez Frédéric. Pour moi. — Sophie, vient de dire Julie. Le bandeau noir. Les mains liées. Glissement des pieds des hommes qui se déplacent. Qui est le premier ? Il est grand. Mon pied s’avance, pas de gros livre, il est naturellement grand, plus qu’Olivier, plus que Frédéric. Donc, Nicolas ou Cédric. Je me hisse sur la pointe des pieds. Sourcils épais, quelques poils même juste au-dessus du nez. C’est donc Nicolas. Service minimum. Frôlement de mes lèvres sur ses petits tétons. Le ventre est musclé. Doit faire de la natation, ou des abdominaux. Humide de la salive d’Aurélie, un gros sexe heurte mon menton. Pas d’odeur de sperme, il lui en fallait plus. À moins qu’ils ne s’aiment plus vraiment, ça arrive. Je passe au suivant. Frustré, Nicolas ? Je l’espère bien ! Grand front. Sourcils peu ...
    ... fournis. Lèvres épaisses, mal rasées mais le poil est souple. Cédric. Non, pas de vrai baiser, tu peux bien entrouvrir les lèvres, c’est en pure perte. Mais je suis bonne fille, à genoux, Sophie ! Que Frédéric soit un peu jaloux, mais qu’il sache ce qui l’attend. Je lèche un peu les couilles. La bite est verticale, collée au ventre par mon front. Je remonte les lèvres, avec de gentils petits bécots. Vais-je prendre en bouche ? Je fais mine, un instant, oisillon implorant affamé. Pas pour toi, Cédric, je te réserve pour la bonne bouche, celle qui voudra de toi. Le suivant, c’est Olivier. Entre mille. J’ai les lèvres immaculées, Olivier, ouvre la bouche, laisse pénétrer ma langue. Allons, ouvre donc ! Non ? Décidément non ? Eh bien, au suivant ! Anthony, ou Frédéric ? Fine mouche, Julie a dû garder Frédéric pour la fin. Pour la faim. Frédéric, amante religieuse, je veux me nourrir de toi. C’est en effet Anthony, son haleine sent le tabac, et il est le seul à avoir fumé. Dommage, Anthony, je n’aime pas ça. Fumer tue. Nous en resterons donc là, salut, Anthony. Il ne reste que Frédéric, ses cheveux fous qui sentent la nature, le sous-bois, le foin coupé. Je suis folle de ce jeune mâle qui me plaît et à qui je plais. Ses lèvres répondent à mon baiser. Tendre ballet de nos langues. Si seulement ses bras pouvaient me capturer… Mais la règle du jeu le lui interdit, et ce n’est qu’un jeu. Ce n’est qu’un jeu, je sais qu’Olivier nous regarde, comme nous regarde la femme de Frédéric. Mais ...