1. Elle


    Datte: 06/03/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, alliance, fépilée, cinéma, volupté, Oral fdanus,

    Ne me demandez pas comment "Elle" est devenue ma maîtresse, je n’en sais toujours rien. Mais quelquefois quand une femme veut quelque chose, il est souvent bien dur à tout homme de résister. Elle, c’est Catherine et Catherine, c’est … ma belle-mère ! Dire que je n’ai jamais eu envie d’elle, serait mentir car le premier jour que ma fiancée (sa fille et alors pas encore ma femme) me l’a présentée, je crois que j’ai eu un pincement au cœur de penser que la fille était bien moins jolie et avait bien moins de classe que sa maman. Seulement, j’étais fou amoureux et aujourd’hui encore quoiqu’il se soit passé et malgré n’avoir pas trop été très sage, je l’aime toujours aussi fort. Catherine est pharmacienne. Elle a 53 ans, soit 11 de plus que moi et 15 de ma femme. Elle mesure 1m66, de taille moyenne avec une poitrine épanouie qui m’a toujours intéressé. Catherine est une femme avec seulement quelques formes rebondies pour son âge. Les cours de gym et le soin particulier qu’elle prête à son physique doivent y être pour quelque chose dans le fait qu’elle ne fait pas du tout son âge. Son visage est bien sûr légèrement marqué par les années, mais pourtant si peu. Le grain de sa peau mate et lisse m’a laissé souvent mes doigts fourmiller mais en vain. Seulement je n’ai jamais hasardé ni osé penser à faire un geste ou une allusion déplacés. En effet, Catherine a en elle quelque chose de collet monté qui repousse fortement, un maintien, une réserve, une retenue extrême, je ne sais pas ...
    ... mais en tout cas elle restait pour moi hors d’atteinte, un peu comme un fantasme impossible, inavoué. Ce samedi là, il y a 6 mois, la pharmacie n’étant pas de garde, nous avions projeté d’aller au cinéma à la première séance matinale de la Passion du Christ de Mel Gibson. Ce film qui recevait beaucoup de détracteurs à cause des scènes choquantes à supporter mais c’est surtout pour l’histoire que nous voulions le voir. Ce week-end là nous étions seuls car ma femme et mon beau-père, hostiles à voir le film étaient partis jouer deux représentations théâtrales à 600 kms. Je passais donc chercher Catherine. Elle était toujours aussi bien habillée. Ce jour là, il faisait froid et le manteau qu’elle portait ne laissait dépasser que très peu la jupe pied de poule. Ses jambes couvertes de nylon noir semblaient interminables. Il y avait peu de monde dans le cinéma mais Catherine voulut que nous nous asseyions au plus haut de la salle, elle à ma droite. Le film était effectivement un peu dur à supporter avec des images de sang et des suggestions de cruauté. Je voyais peu à peu le corps de Catherine se raidir et s’immobiliser dans son fauteuil. J’avais les bras sur les accoudoirs. Un moment, sa main vint serrer mon bras droit, fortement. Je ne savais que faire de ce contact qui me comprimait mais j’avais pourtant à la fois envie qu’elle poursuive ce geste. Elle sentit mon regard se poser sur elle et me chuchota : — Excusez-moi, c’est trop dur.— Vous voulez partir ?— Non. Ça va. Elle me ...
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