1. Elle


    Datte: 06/03/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, alliance, fépilée, cinéma, volupté, Oral fdanus,

    ... gratifia d’un sourire qui me fit fondre. Les images continuaient à provoquer des frissons, un mal à l’aise continu. Sa main se referma à nouveau sur mon bras. Je posais ma main droite sur la sienne, la caressant pour la faire s’ouvrir. — Je vous fais mal, excusez. Elle voulut retirer sa main mais je l’en empêchais, doucement. Je savais que je vivais quelque chose d’unique et ne voulais pas le laisser passer. Je continuais à caresser sa main, ses doigts, lentement, comme pour l’apaiser. Le contact de sa peau m’électrisa alors même que je passais mon index dans sa paume. Elle me laissait faire, toute au déroulement du film. Je mélangeais nos doigts et voulus en rester là par peur d’aller trop loin. Quelques secondes interminables et à son tour, c’est elle qui me caressait. Je la laissais faire. Elle s’aventurait lentement vers l’intérieur de mon bras, à travers ma chemise je sentais monter en moi des envies incontrôlables. Je ne savais plus que faire. Comment cette femme - ma belle-mère – pouvait s’aventurer ainsi dans des gestes tellement déplacés et qui ne lui ressemblait pas ? Je ne voulais plus chercher à comprendre. Elle posait ses yeux sur moi et je soutins son regard étrange. J’osais une main sur sa joue, en revers pour sentir sa douceur. Catherine me souriait. Je n’en revenais pas. Ma main glissa dans son cou. Je m’attendais à être repoussé, à un refus mais rien. Je remontais mes doigts sur ses lèvres, en caressait le tour. Elle sortit le bout de sa langue pour les ...
    ... lécher. Alors, tout se déclencha d’un coup. Je posais mes lèvres sur les siennes. Des petits bisous picorés puis un lent baiser qui suivait lourd d’envie. C’était incroyable, cette jolie femme s’ouvrait à moi. Je dégrafais un bouton de son chemisier en l’embrassant de plus belle. À nouveau, j’avais peur qu’elle dise non, qu’il fallait tout arrêter, etc…. mais heureusement il n’en fut rien. Sa respiration se fit plus forte, elle s’accéléra. Sa poitrine remontait plus haut. Je caressais un sein, le sentis lourd et le couvris de ma paume, puis je glissais à travers le soutien-gorge à la recherche de son mamelon. Celui-ci était érigé. Je le pinçais légèrement autant que je pus le faire avec les vêtements qui emprisonnaient mes gestes. Sa bouche me délivrait baisers sur baisers, longs, suaves, épicés. Sa langue recherchait la mienne. Une main se posa sur mon genou. Catherine se pencha dans son siège pour se rapprocher de moi. Sa main remonta le long de ma cuisse et se posa sur mon entrejambe. Je bandais depuis longtemps et à travers l’étoffe du pantalon, tout se devinait. Catherine eut un bruit d’approbation à ce qu’elle venait de découvrir. À mon tour, je glissais ma main sur sa jupe, le long du nylon. Je bandais encore plus fort. Je trouvais le haut de ses bas autofixants, découvrais le contact de sa peau douce et m’arrêtais un instant sur le tissu de son sous-vêtement. C’était doux. Je ne percevais pas le contact de poils. D’un doigt je forçais le sous-vêtement à entrer dans sa ...