1. De Julien à Julie (2)


    Datte: 06/03/2019, Catégories: Transexuels

    ... me fait aucun reproche et je lui en suis gré. Les jours suivants, Sébastien me relance sans arrêt. Il cherche à tout prix à profiter de mon petit trou, mais je ne sais pas pourquoi je n’ai pas envie de faire ça avec lui. Surtout en sachant qu’il se tape un autre. C’est à la sauvette que j’accepte de lui faire une pipe dans le vestiaire du gymnase, alors que tout le monde est déjà parti. J’avoue que ça ne me déplaît pas de recevoir son jus dans ma gorge. Ca me manquait un peu ! Ma tante ne souhaite pas que je passe tous les jours, elle veut garder un peu d’intimité. Je peux comprendre cela. Toutefois, je suis impatiente de la revoir et quand, enfin, je suis femme avec elle, j’ai l’impression de revivre. Je lui expose le désir de Sébastien et, à la fois mon envie d’être déflorée et ma crainte de souffrir ... Sophie m’invite alors à la suivre. Le simple fait de franchir le seuil de sa chambre fait monter mon désir. Mais non, elle prend un petit escabeau pour se hisser en haut de l’armoire. Comme elle me le demande, j’assure sa stabilité en la maintenant, mais j’en profite pour glisser ma main sous sa jupe pour palper une fesse. « Tu es une sacrée coquine Julie, mais attends j’ai une surprise pour toi ! » Elle redescend de l’échelle avec une boite en carton, qu’elle ouvre. Je suis estomaquée de ce qu’elle en sort. Une sorte de phallus, bien imité, relié à des lanières de cuir. « J’avais acheté ça pour un mec qui voulait que je l’encule et, en fait, je ne l’ai jamais revu depuis. ...
    ... Sa bonne femme à dû lui remettre le grappin dessus. Aller, attache le moi. Je vais t’apprendre ce que c’est que d’être enculée, tu vas apprécier, c’est sûr !» Ses paroles ne sont pas autoritaires mais plutôt prévenantes, encourageantes. Elle ne garde que son string et j’ajuste les lanières sur sa taille et entre ses fesses. « Tu veux me sucer ? » Me demande-t-elle en agitant le gode devant moi. Le goût du caoutchouc est moins agréable que celui d’une vraie bite, mais je suis prise dans l’action. Je caresse ses jambes en pipant le gode à même faire une gorge profonde. « C’est bien ma chérie, tu suces bien ! Maintenant, monte sur le lit et tourne toi, je vais te lubrifier, c’est important, surtout la première fois. » Si je me contracte au premier contact de son doigt enduit d’un gel froid, quand elle me pénètre, j’éprouve une sensation merveilleuse. C’est différent de mes essais préalables, dans le sens où, ce n’est pas moi qui imprime le va et vient dans mon conduit. Elle glisse un deuxième doigt et je le sens m’écarter. Elle me caresse le dos d’une main et me sodomise, lentement, de l’autre. Après avoir bien graissé mon entrée, elle s’essuie les doigts et se positionne. « Si tu es prête, on va commencer, écarte bien tes fesses … » Je ne sais pas si c’est grâce à sa préparation, mais je suis rapidement investie. Une déchirure au début, puis une progression inexorable qui me distend l’intérieur. « Ça va ? On continue ? » « Ouiiiii ! » Malgré la douleur initiale, j’éprouve une ...