1. PokémonVR (3)


    Datte: 09/03/2019, Catégories: Hétéro

    Chapitre 3 : Rien ne va plus Il me fallut plusieurs secondes avant que je ne me rendisse compte de ce qui se passait. Le corps nu d’Ayaka était collé au mien, sa bouche fouillait la mienne et sa main s’agitait sur ma verge tendue. Bien que je sentisse le plaisir monter en moi, je décidai d’interrompre ce baiser. — Désolé, dis-je. Je ne peux pas tromper ma copine, ce ne serait pas correct envers elle. — Elle n’en saura jamais rien, me répondit-elle à l’oreille. Et puis, ce n’est pas une petite baise qui va la tuer, non plus. Je tentais d’avaler ma salive sans faire trop de bruit, mais raté. Ayaka en avait presque ri. — Et si quelqu’un arrivait ? continuai-je en imaginant l’un des dix-huit participants arriver ici pour aller chercher un Pikachu. — Il n’aura qu’à se rincer l’œil, je m’en fous, répondit-elle. Voyant que j’hésitais encore, elle décida de tenter le tout ou rien. — Bon, tu sais quoi ? Si tu veux vraiment qu’on arrête tout, tu n’as qu’à me repousser. Je posai mes mains sur ses hanches, mes incapable d’éloigner ce corps ardent de mon torse, je capitulai et remontai mes mains jusqu’à sa poitrine que je commençai à malaxer. Fermes comme des vrais, pensais-je. Monsieur Secoya avait réellement poussé le réalisme à fond. Je vis de la joie sur son visage, et aussitôt elle m’embrassa derechef. Pendant plusieurs minutes, je me contentais de jouer avec ses seins pointant en usant de mes doigts et de ma langue, mais bientôt cela ne me suffit plus. Aussi décidai-je d’avancer ...
    ... jusqu’à ce qu’Ayaka se retrouvât coincer contre un arbre de la forêt, un Chrysacier au-dessus de nos têtes. Mon pénis, coincé entre nos deux torses, bouillonnait si fort que c’en était presque douloureux. Décidant de libérer mes parties, je pris les fesses de ma partenaire et les soulevai afin que, en l’air, son vagin fût en face de mon phallus. Elle me regarda, d’abord surprise, mais celle-ci laissa place à l’envie trahie par les traits du visage de ma partenaire. Afin de m’encourager, elle me mordilla l’oreille. Pour seule réponse, j’enfonçai mon engin en elle. Elle poussa un cri aigu lorsque mon membre de dix-sept centimètres s’enfonça jusqu’à mon pubis. — Oh putain, articula-t-elle entre deux gémissements. Et dire que tu voulais arrêter tout à l’heure. — Tout ce que je veux pour le moment, c’est ta chatte, répondis-je en entamant un va-et-vient. Le poids de ma partenaire agaçait mes épaules, mais elles tinrent bon. Pendant plusieurs minutes, Ayaka coulissa sur mon membre dans un bruit merveilleux de succion. Mon pénis, recouvert de cyprine, semblait ravi de cette nouvelle antre accueillante. Jamais je n’aurai osé, avec ma petite-amie, faire ce genre de choses en forêt. — Pour répondre à ta question, ce vagin numérique est plus accueillant que celui de Stéphanie. — Tu oses me parler de ta copine en plein coït, rit-elle. Pour la peine, prends-ça. Je sentis sa main droite descendre le long de mon dos pour atteindre mon rectum. Avant que j’eusse le temps de réagir, son index me ...
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