Un stage très formateur (1)
Datte: 09/03/2019,
Catégories:
Hétéro
Cette histoire s’est réellement déroulée il y a peu, alors que j’étais stagiaire en entreprise. Seul les noms on étés changés. Je m’appelle Lolita. Je suis une jeune femme de bientôt 19 ans. Brune, cheveux longs, 1m71 pour 53 kg. Il faut le dire, j’ai hérité de ma mère un corps qui n’est pas déplaisant à regarder. Je le sais. Ma poitrine est à mon image : mince. Je dois faire un petit 85B, mais je ne sais pas trop, je ne porte que très rarement de soutient-gorge. Mes fesses sont fermes et galbées, et suivent la cambrure de mes reins, qui est assez prononcée. Je suis un être passionné. Caractériel, à fleur de peau, et parfois impulsif. En groupe, on me qualifie souvent de meneuse. Voire un soupçon dominante. Ce sont des critères qu’il est important de préciser pour la suite de l’histoire. Autre faits intéressants : je suis passionnée de littérature, mention spéciale pour un célèbre écrivain russe. De plus, l’érotisme fait partie intégrante de mon existence. Les hormones ne m’ont pas loupée, elles me tiennent en émoi chaque jour un peu plus. Avec une particularité : j’aime les hommes murs. Si tenté qu’ils soient charismatique, avec du charme, il y a de quoi me rendre dingue. J’ai eu plusieurs aventures avec des hommes ayant au minimum 20 ans de plus que moi. J’y ai toujours pris beaucoup de plaisir. Cette histoire s’est déroulée à partir d’un milieu de la vie quotidienne : le lieu de travail. En effet, pour accéder au parcours diplômant qui m’attire, à savoir le travail ...
... social, j’ai dû suivre pendant plusieurs semaines un stage dans un organisme. Déterminée à poursuivre dans cette voie, je prenais très au sérieux ce nouveau virage de ma vie. Pour ce faire, j’avais décidé de me mettre dans la peau d’un personnage neutre. En mettant de côté toutes mes extravagances, qu’elles soient physiques et morales. Le premier matin, j’ai déambulé dans mon appartenant à la recherche d’une tenue adéquate. J’ai troqué mes petites robes et mes bas contre des pantalons informes, mes débardeurs contre des pulls à manches longues, et mes talons hauts contre des bottines simple. Mes longs cheveux étaient noués en un chignons serrés, et mon maquillage, quasi inexistant. Un dernier coup d’œil dans le miroir : parfait. Cachée de la sorte je n’attirerais aucun regard. Il en valait de ma sécurité. C’est donc d’une neutralité absolue, et pleines de bonnes intentions que je me suis rendue à mon premier jour de stage. La fleur au fusil. En arrivant, j’ai fais la rencontre du gérant qui ma présenté l’équipe au complet, en m’expliquant que chaque jour un membre du personnel soignant se doit de se trouver sur les lieux. Il y en avait plusieurs, qui tournaient en fonction des jours de disponibilité de chacun. On m’indique une sorte de petite remise où aller poser mes affaires, devant laquelle se tient celui qui me semble être l’infirmier, lui même en train de ranger son cartable. Je m’avance jusqu’à lui, il relève la tête et me salue : « - Bonjour. C’est vous la stagiaire ? Karl ...