1. Soeur Gertrude 5


    Datte: 09/03/2019, Catégories: grp, fplusag, jeunes, profélève, religion, amour, volupté, Oral pénétratio, fdanus, hdanus, Partouze / Groupe uro, init,

    SŒUR GERTRUDE 5 L’épisode précédent nous a laissé tous quatre en pleine préparation de ce pourquoi nous étions venus, c’est-à-dire profiter d’un samedi après midi pour apaiser nos sens. Paul, mon amant depuis le samedi précédent pelotait outrageusement Odette, amie de sa mère et l’embrassait à pleine bouche. Jacques, l’ami de Paul et accessoirement mon élève à l’Institut, était assis à côté de moi dans le divin et voyait, sans y croire, ma main remonter sa cuisse. Il était crispé et ne savait où regarder. D’un côté il voyait son copain occupé à lutiner une femme mature qui aurait pu être sa mère par l’âge et, de l’autre côté, ne voilà t-il pas que Sœur Gertrude, son professeur de Sciences Nat se mettait à lui caresser la cuisse. En quelle galère s’était-il embarqué, ce presque puceau. !! Moi, je regardais avec envie Paul déboutonner le chemisier d’Odette, le lui enlever et dévoiler un élégant soutien-gorge de dentelles noires. Je regardais avec envie la main de Paul se glisser entre les cuisses de sa partenaire pour une caresse précise. Sans trop regarder Jacques, j’avais moi aussi poursuivit le mouvement de ma main et j’en étais maintenant à effleurer la bosse de son sexe, sur son pantalon. À ma grande surprise, rien de dur n’était perceptible… il ne bandait pas ou presque pas ! Ma parole, il était gêné ou timide… Je me suis rapproché de lui et doucement je me suis mis à lui malaxer l’entre jambe tandis que je lui mordillais le lobe de l’oreille et donnait des petits ...
    ... coups de langue dans le pavillon de son oreille. Qui pourrait résister à un tel traitement ? Eh bien : lui ! Toujours rien ne gonflait sous mes doigts, toujours rien ne durcissait. Ne voilà t-il pas qu’Odette, en soutien-gorge et la main de Paul sous sa jupe dit : « Ma sœur, je suis confuse d’ainsi me laisser aller devant vous, une femme d’Église. Le corps a des besoins que quelque fois la raison ne peut endiguer. Paul a la gentillesse épisodique de me satisfaire sexuellement lorsque mon mari me néglige ou est en voyage. Voyez déjà comme je suis dénudée… je ne sais où me mettre ! Comme elle parlait bien, cette Odette ! C’est Paul qui a répondu promptement : « Allons Odette, si tu ne sais pas où te mettre, moi je sais bien où te le mettre (grossier de jeune homme). T’en fais pas pour la bonne Sœur, elle aime bien aussi les jeunes queues … Ouvre tes cuisses que je sentes mieux ton minou « Tout en parlant, il avait fait sauter l’agrafe du soutien de sa compagne et libéré deux beaux seins, bien aréolé et avec deux boutons durcis qui indiquaient bien l’état d’excitation. Sans être trop gros, ces seins accusaient légèrement le poids de l’âge, mais leur balancement au gré des mouvements du corps les rendait encore plus attractifs. A cette vue, Jacques s’est finalement mis à réagir et sous mes doigts j’ai senti le volume augmenter et le serpent se tendre… Tout cela me semblait de bonne dimension, selon ma faible expérience. A l’oreille de mon compagnon de divan j’ai murmuré : « ...
«1234...11»