Soeur Gertrude 5
Datte: 09/03/2019,
Catégories:
grp,
fplusag,
jeunes,
profélève,
religion,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
fdanus,
hdanus,
Partouze / Groupe
uro,
init,
... plus abondantes. Nous nous sommes retrouvés enlacés, nous embrassant goulûment, avides de rattraper le temps perdu. J’étais seins nus et Paul, en quelques mouvements rapides s’était complètement déshabillés, quasi sans quitter mes lèvres. J’ai fait tomber ma jupe et glisser mon slip, restant en porte jarretelles. J’ai eu mon premier orgasme de la soirée en sentant le sexe durci de Paul se promener sur mon pubis et ses doigts titiller mes mamelons sensibles. Cela a été fulgurant et j’en ai eu comme des éblouissements. Il faut dire que j’attendais depuis longtemps ! Presque en même temps, tous deux nous avons crié : « Prend moi, vite .. » J’ai mis mes mains sur le bord du canapé, dévoilant et proposant ma large croupe à mon amant devenu fougueux… sans autres préparatifs inutiles, il a introduit sa belle queue jusqu’au plus profond de mon vagin et s’en emparé de mes seins qui pendaient sous moi, mettant ses deux mains en conque, comme un soutien-gorge de chair chaude. Nos mouvements rythmés sont vite devenus tumultueux… nous voulions vite conclure, vite prendre notre plaisir ensemble. Jacques et Odette étaient devenus anecdotiques …. Et c’est ensemble, dans le même halètement fébrile, dans les mêmes soubresauts de nos corps soudés par la même passion, que nous avons atteint le plaisir. Je sentais la semence chaude et abondante de PAUL m’inonder… Mon Dieu, une fois de plus je me rendais compte de tout ce que j’avais manqué dans ma vie. S’il faudrait qualifier cette étreinte, je ...
... dirais brève et intense. C’est tout ce que nous voulions… vite jouir ensemble. Paul s’est dégagé de moi et, comme deux vieux amants, nous nous sommes embrassés tendrement, jouant doucement de nos lèvres, de nos langues, comme pour nous apaiser comme pour mieux faire ressortir notre attirance l’un vers l’autre, peut-être au-delà de notre simple attirance sexuelle. C’était un jeu dangereux pour moi car je ne pouvais pas tomber amoureux de ce jeune élève, faute de ruiner toute ma vie et probablement la sienne. Je devais absolument profiter de nos deux corps mais soigneusement éviter d’y mêler l’esprit. Lorsque j’ai dit à Paul que s’il le désirait, je pouvais passer la nuit entière avec lui, son visage s’est éclairé et il m’a dit que c’était la première fois qu’il allait se réveiller le matin avec une femme à ses côtés. Je lui ai fait le même aveu. De ce côté là de la situation, nous étions vierge tous les deux. J’avais vraiment perdu toute pudeur.. j’étais en effet, nue vêtue de mon seul porte jarretelles, dans le salon des parents de Paul, celui-ci dans sa nudité complète et triomphante. Qu’ils étaient loin mes vœux de chasteté, qu’elle était loin toute ma réserve de nonne naïve. Ma nudité, érotisée par mon porte jarretelles, était dans la continuité de l’acte d’amour, dans la continuité de l’abandon de toutes mes inhibitions, dans la continuité de tous mes abandons. J’en étais presque à me demander comment on pouvait vivre habillé auprès de son amant. Quelle métamorphose …. ...