1. Soeur Gertrude 5


    Datte: 09/03/2019, Catégories: grp, fplusag, jeunes, profélève, religion, amour, volupté, Oral pénétratio, fdanus, hdanus, Partouze / Groupe uro, init,

    ... moins à un des offices du matin. Nous nous sommes embrassés comme de vieux amants attendris et nous avons encore joué un peu avec nos corps. Paul m’a dit très calme et gentil : « je voudrais que cela dure longtemps avec toi. « Ma réponse a été affirmativement simple. « Oui, moi aussi, je voudrais .. » La main dans la main, nous sommes allé ensemble à la salle de bain où, mutins, gamins, amoureux, nous avons fait notre toilette en commun, y compris une douce douche très câline. J’ai du me démaquiller à fond car je ne l’avais pas fait la veille au soir tant j’avais hâte d’autres plaisirs. J’adorais faire pipi devant Paul (allez savoir où j’avais appris cela ? Certes pas au couvent !!) et, assise sur le pot, il est venu me caresser pendant l’action, sous mon jet d’or, tout en trifouillant dans mon minou…. Cela a suffit pour que j’aie un bref orgasme matinal. Dans sa position, sa verge était à ma portée et je m’en suis emparée du bout des lèvres, entourant le gland d’une douce succion. Elle s’est mise à grossir, à se tendre … Ah ! mon doux amour, comme tout cela est bon. Ensuite, vite, vite, sans déjeuner, je me suis remise en stricte uniforme de « bonne Sœur » et après un bref baiser plein de promesses contenues, à Paul, je suis partie d’un pas pressé, rejoindre ma Congrégation, en ce dimanche matin ensoleillé. J’étais tellement heureuse que je me sentais planée comme portée par des anges (ou par des démons … allez savoir !) Au détour d’un couloir, j’ai rencontré la Sœur ...
    ... supérieure qui m’a interpellée : Ah ! vous voilà, ma Sœur. Je ne vous attendais pas sitôt. Vous auriez pu prendre le repas dominical avec cette pieuse famille et assister encore la maman malade. Vous semblez fatiguée de cette veille. Je vous dispense du prochain office. Allez-vous reposer jusqu’aux Vêpres. Dorénavant, je vous autorise à faire la garde malade dès que vous en sentez le besoin auprès de la malade ou de sa famille. C’est faire œuvre de piété. Ne négligez cependant l’enseignement que vous dispensez avec tant de science à nos élèves. Allez en paix dans les voies du Seigneur. » Rouge (de honte) j’ai balbutié un « merci, ma Sœur » et me suie enfuie vers ma chambrette… Une autre vie commençait pour moi. Pendant l’année où Paul terminait ses études à l’Institut, nous nous sommes revus souvent, plusieurs fois par semaine, soit pour des rendez-vous furtifs et intenses dans une classe abandonnée, soit pour des visites du samedi en l’absence de ses parents et même plusieurs fois pour des nuits entières avec la bénédiction de ma Supérieure qui me croyait au chevet de la maman malade (la pauvre … si elle savait !) Ce fut mon année d’intense bonheur car je partageais ma vie entre mon enseignement, mes obligations religieuses (au moins de façade) et mes pulsions sexuelles, les appels de mon sexe. Personne n’en a jamais rien su. Paul et moi avons su secret garder. A la fin de ses études chez-nous, Paul s’en est allé poursuivre sa formation dans une Université des États-Unis et a donc ...
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