1. Soeur Gertrude 5


    Datte: 09/03/2019, Catégories: grp, fplusag, jeunes, profélève, religion, amour, volupté, Oral pénétratio, fdanus, hdanus, Partouze / Groupe uro, init,

    ... retiré la longue tige hors du caleçon et l’ai admirée une fois de plus. Que c’est beau un sexe d’homme, dressé et dur, plein de veines apparentes le long de la hampe, avec un gland un peu violacé et bien découpé et… au milieu, cet orifice qui permettait à la semence de sortir. Je regardais cela comme on regarde une œuvre d’art, sauf qu’ici c’était vivant, chaud, mobile et destiné à mon plaisir. J’ai eu envie de manger, de me repaître de cet outil de plaisir. Paul, l’ tout de suite compris au mouvement de ma tête mais m’a arrêtée dans mon mouvement. Coquin, il a trempé le bout de sa verge dans son verre de Cointreau incliné, et puis il a conduit ma tête, ma bouche, vers l’objet de mon désir. Ce morceau de chair vivante parfumée à la liqueur était sublime et je me suis mis à la lécher comme une friandise avant de l’engloutir tout entière dans ma bouche…. Je ne bougeais presque pas, me contentant de quelques mouvements de langue ou de succion pour faire durer nos deux plaisirs. Trois doigts de Paul étaient maintenant enfouis en moi et, tout comme moi sur son sexe, ils bougeaient peu, simplement un frémissement de temps en temps comme pour assumer leur présence ….Nous avions toute la nuit devant nous !! Cela a duré fort longtemps, à notre satisfaction réciproque et puis, quittant chacun le sexe de l’autre, nous avons échangé un très long baiser, très calme, très profond, très amoureux … Un second Cointreau a vite été servi et bu. Après l’apéritif, le vin à table et les deux ...
    ... Cointreau copieusement versés, j’avais du vent dans les voiles comme on dit vulgairement. Paul probablement aussi car, pantalon ouvert, il circulait verge au vent tandis que moi, pleine d’impudicité j’était avec la robe largement ouverte, les seins nus et le cache-sexe cachant mal mon entre jambes mouillé. Il était temps de rejoindre la chambre, mais mon compagnon s’est encore arrêté en chemin pour une dernière abondante lampée de liqueur, j’en ai fait de même et c’est dans un état second, un peu titubante que j’ai continué mon chemin… J’ai voulu aller à la salle de bain pour un brin de toilette et pour me démaquiller mais Paul m’a retenu par la main en me disant : « Non, ne te lave pas … je veux ton odeur, je veux te sentir femme ». A vos ordres, jeune homme !! Je me suis couchée sue le grand lit et j’ai vu Paul se mettre nu, pliant avec un certain soin son pantalon et mettant son blazer sur un cintre. Il avait laissé uniquement allumées deux lampes de chevet et un éclairage indirect. C’était romantique à souhait. Il s’est approché de moi et s’est mis à me déshabiller avec beaucoup de précautions et de douceur pour, dès que je fus nue, parcourir tous mon corps de baisers subtils… il a commencer par mes pieds et orteils pour remonter mes jambes, mes cuisses, éviter mon minou, parcourir mon ventre, s’attarder à mon nombril, remonter vers mes seins, les éviter, passer à mon coup, mon menton, mon front et mes oreilles tout en évitant ma bouche. Ce coquin faisait la un parcours ...
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