1. Quand on tire le diable par la queue (1)


    Datte: 10/03/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    L’inceste dans la pauvreté. Préambule : Cette histoire fictive, se passe au début de l’industrialisation de l’horlogerie, elle est située dans le cadre du jura vaudois en Suisse. Le travail commençait à se faire à la chaîne, mais les montres étaient encore toutes montées et ajustées à la main. Lors de l’hiver, Jacques, ouvrier spécialisé, faiseur d’étampes (pas d’estampes qui auraient rapporté plus) meurt d’une pneumonie à l’hôpital, laissant sa famille, sa femme Rita qui n’est pas vraiment une beauté et son fils Jean a un visage à l’image de sa mère, assez rébarbatif, Il suit l’école d’horlogerie , lui aussi dans la section de faiseurs d’étampe. Ses résultats scolaires sont bons, il maîtrise bien son sujet, mais ils sont à la limite de la pauvreté, presque toutes les réserves de la famille ont passé pour les soins, qui furent inutiles, et l’enterrement. Pour survivre, sa mère doit commencer à travailler à la fabrique d’horlogerie comme ouvrière non spécialisée. L’ambiance est vraiment dure, elle passe ses journées à trier des petites roues dentées, à les compter et à les mettre dans des enveloppes. Le patron a fait installer sous les tabourets de travail des boutons pour aviser au chef d’atelier la durée de passage aux toilettes, afin de limiter la durée de fumaille. Heureusement, elle n’est pas concernée par ce genre de mesure, mais c’est quand même dur et la paie n’est pas mirobolante. Il reste à la famille qu’une petite maison, perchée sur la colline, relativement mal ...
    ... isolée, chauffée au bois et au charbon. Rita à 45 ans et Jean est un jeune homme de 18 ans passés. Devant le froid et le peu de moyens, Rita décide de faire lit commun avec Jean, pendant la période du froid. Il lui semble que de diminuer le chauffage lui permettra d’économiser un peu les frais. Tout se passe bien et effectivement ils se tiennent au chaud les deux sans problème et le printemps arrivant, elle le renvoie dans son lit dans la soupente, le chauffage n’étant plus trop nécessaire. Il est bien triste, car il aimait bien être serré contre sa mère, sentir son corps, même si il n’en trouvait pas de fantasme sexuel, juste la présence en dormant. – Maman, pourquoi ? – Tu sais, mon fils, les gens sont souvent de mauvaises fois et ils pourraient entamer une cabale si on est dans le même lit, maintenant que tu es un jeune homme. – Mais l’hiver prochain, on va faire comment ? – Laisse chaque chose en son temps. Le printemps et l’été se passe et au cours de nombreux week-end, ils vont en forêt pour faire la provision de bois de chauffage. L’école se passe bien, mais gentiment, la mère commence à sentir le manque de son homme, même si il n’était pas trop actif, mais elle sait bien qu’elle n’a que peu de chance d’avoir un quelconque succès. Elle a bien essayé d’aller à quelques bals, mais cela n’a rien donné, la seule chose que les types voulaient, c’était glisser leurs queues sans suite, ce qui ne faisait pas ses affaires. Il y a bien eu cet interné polonais, mais il se posait le ...
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