Quand on tire le diable par la queue (1)
Datte: 10/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... problème d’où et en plus il a dû repartir dans sa Pologne natale, mais lui, c’était vraiment un gentil garçon, plein d’égards, mais aussi sans avenir. Elle savait qu’elle n’avait pas le droit d’avoir un autre enfant, n’ayant pas les moyens de l’élever. L’hiver se rapprochant, elle remit le même arrangement que l’hiver précédent. C’est alors qu’elle a eu la visite du service social. – Vous ne pouvez pas dormir dans le même lit que votre fils ! – Pourquoi ? – Mais il y a un risque d’inceste ! – Ce n’est pas le cas, mais je n’ai trouvé personne qui serait d’accord de me fournir suffisamment de bois de chauffage pour chauffer deux pièces et dans la chambre du bas, il n’y a pas de place pour faire deux chambres. – Cela ne fait rien, ce n’est pas possible. – Alors fournissez-moi les moyens de réaliser vos exigences, je refuse de laisser mon fils dormir dans une pièce non chauffée ! – Je ne peux rien faire, mais au besoin, il reste un moyen de gagner mieux votre vie, il y a beaucoup d’hommes qui sont sans femmes. – Que me proposez-vous, la prostitution ? Vous avez vu ma gueule ? Avec elle, je ne vais pas faire fortune, avec 5 francs la pipe ! Vous me donneriez combien pour avoir une passe avec moi ? Si on ajoute les impôts et les risques qu’y sont liés avec cette profession : d’avoir des grossesses, des maladies... – C’est vrai, je m’excuse de cette proposition, c’est vrai que cela n’en était pas une convenable. – Alors revenez quand vous pourrez vraiment m’aider et ne pas ...
... m’enfoncer plus dans la misère, au revoir. Le soir, ils se retrouvent à table et elle lui explique la visite qu’elle a eue dans la journée. – C’est vraiment des cons ces gens sociaux. À l’époque c’était surtout « Pro Patria », une agence plus ou moins gouvernementale, avec un petit goût d’eugénisme, stérilisant les femmes gitanes, enlevant les enfants gitans pour les replacer dans de « bonnes » familles. – Je sais, mais que faire. – Je ne sais pas, mais je suis tout énervé de ça. Ils se couchent comme d’habitude et plus que l’an passé, ils prennent du plaisir d’être près l’un de l’autre. – Maman, je dois t’avouer que j’adore ton odeur, elle m’excite. – Mon fils, ne me tente pas, on n’a pas le droit de faire quelque chose, les risques sont trop grands. L’hiver continue sans trop de problème, l’école va bien et il n’y a pas de dérapage, même si les deux sont de plus en plus intimes, on arrive au printemps et Jean retourne dans sa chambre non chauffée à l’étage. C’est alors qu’il y a la visite du pasteur qui vient leurs prêcher la bonne parole. – Ma fille, le service social m’a informé que vous couchez avec votre fils. – Je crois qu’il y a une erreur de vocabulaire et d’interprétation, je couche dans le même lit que mon fils, mais je ne baise pas avec lui, nous n’avons pas les moyens de faire autrement, la maison est très mal isolée et je n’ai les moyens que de chauffer qu’une pièce. – Oui, je comprends, mais j’ai peur pour vous que vous ayez des problèmes avec les âmes bien pensantes. – ...