La Femmelette du Mont Sainte Michèle. (1)
Datte: 10/03/2019,
Catégories:
Divers,
... possibeul, ça dépend de only you ! Of course que zat is trou ! If, if, if ! ………………………………………………………………………… La grande première est pour ce soir ma chérie, ton anniversaire, un banquet intime. Quarante amis, pas plus. Tu pourras goûter ce qui devrait faire ta gloire et le succès de notre estaminet, notre fortune peut-être. J’ai préparé pour toi bites et amourettes à volonté, bougies et piquettes. Ce sera un repas couillu et bandant comme tu les aimes. De plus, il y aura moult femmelettes, dodues et chaleureuses, fumantes. Vulvettes bavissantes et trémoussantes. Pirouettes et Cacahuètes les jumelles que tu adores et qui te le rendent bien, seront de la partie. Toutes m’ont promis la grande forme pour l’occasion et juré de te combler de vicieux cadeaux-surprise. Les bouteilles de Vrai Champagne s’imposent, je sais que tu les apprécies en toutes circonstances, partout, avec ou sans leur bouchon. En couronnement de ton plateau d’anniversaire ma grosse amour, ni fanions, ni banderoles, j’ai sculpté une statuette toute en finesse et délicatesse, à ton image et que j’ai baptisé : « Sainte Michèle Masturbant les Glandons » J’espère qu’elle te plaira autant qu’à moi. En dessert Crêpes Sucettes Roulées - Citrons Pressés. Pets de Nonnes du monastère et nos Tartes-Taquines maison. Qu’en penses-tu ma divine archange ? Ça te va ? Je t’attend ma Grasse Présidant le Ciel. Soyeux Anniversaire. Que ta santé humide se répande encore et encore par le devant et par le derrière. ukwunf PS : Notre ...
... restaurant a joyeusement prospéré. Sa publicité affichait en silhouette une photo du fameux plat sur fond de mer et lever de soleil. — Oh ! On dirait le vrai ! Après édition de cartes postales, nous dûmes agrandir le parking. Pour les autocars. Le banquet d’inauguration fut particulièrement réussi. Pour la première fois, estomaqués, nous entendîmes les moules brailler en chœur « Vive la Marée », leur hymne national, repris avec vigueur et enthousiasme par les huîtres et les crevettes des tables voisines. Lors de cette soirée mémorable, la salle jouissait et re-jouissait à tour de bras, hurlements à fendre les vitres, les bites surbandaient à qui mieux-mieux, les rochers tremblaient, vibraient se tapant les couilles par terre, les algues trémoussaient, lambadaient, gigotaient, applaudissant follement les mille marées arrivant au galop. De grands jets de crème fraîche éjaculée s’épandirent partout, ensemençant les chants. Les langues bretonnes, cauchoises, anglo-normandes, armoricaines mélangées, entrelacées s’insinuaient ça et là. Le moindre trou de vase, la plus profonde cavité humide parmi les varechs était fouillé par elles bruyamment tout comme les tendres fruits de mères et les rugueux rochers des pères. Les crevettes, seins à l’air et tutus rose s’enlacèrent en folles farandoles, picotant de leurs antennes agiles les chairs grandes ouvertes des cons vifs et des convives, offertes du fond du cœur et plus bas encore. Le monde se gavait de trous normands, de bombardes ...