1. Valérie : l'insoupçonnée (11)


    Datte: 11/03/2019, Catégories: Hétéro

    Valérie s’approche tranquillement du lit, un sourire radieux aux lèvres. Elle pose son sac à main sur la desserte. Je me lève. Nous nous embrassons. J’écarte les pans inférieurs de sa robe et recule. J’avais eu comme une prémonition. Valérie rougit : — J’ai beaucoup pensé à toi ce matin et je l’avais mouillé. — Il y a longtemps que tu l’as enlevé ? Elle rigole, dénoue la robe qui s’ouvre entièrement. — Je l’ai enlevé en même temps que le soutien-gorge : juste avant de venir ici. Laissant tomber sa robe à terre, elle s’agenouille et entame une de ses fameuses fellations. Je crois devenir fou. Je la redresse, la couche sur le lit et entame un cunnilingus. Mais Valérie m’attire rapidement à elle et je la pénètre. Elle gémit bruyamment. — C’était long ce matin. Je mourrais d’envie de revenir ici. Il n’y a même pas eu de pause pour que je puisse me masturber. — Moi je l’ai fait. Je l’astique en cadence. Valérie prend son pied. — Oh ! Oui ! Encore ! Un peu plus vite ! J’obéis et ma maitresse jouit. Elle se redresse ensuite et nous nous asseyons en Lotus. Valérie a un sourire coquin. — Tu as pensé à moi en te branlant ? — Oui, et j’avais ton odeur… Ton string rouge… — Ah ! Oui, il devait être bien imprégné celui-là. Elle m’embrasse le bas du visage, le cou, remonte à mon oreille. Tout ça en ondulant des hanches de manière si sensuelle que je suis obligé de lui dire de ralentir sans quoi je n’allais pas résister longtemps. Elle murmure au creux de mon oreille. — Tu as pensé à moi ...
    ... comment ? — Je t’ai revue en lingerie. L’ensemble noir, le blanc… — Je tâcherai de les remettre alors… — Je me suis aussi souvenu de positions coquines… Valérie sourit et se retire soudain. Couchée au milieu du lit, elle écarte vulgairement les jambes et se caresse, un main sur la poitrine, l’autre sur son sexe. Elle me fixe. — Tu aimes celle-ci ou… Lentement, elle se tourne sur le ventre et, cambrée comme jamais, se met à quatre pattes et écartant les jambes. — Ou préfères-tu celle-là ? Je ne réponds pas. Elle m’allume comme jamais et je veux voir où elle va aller. Elle dandine des fesses, je me contiens je ne sais pas comment. Tout est tellement ouvert… Elle prend alors les trois coussins du lit et les place sous ses hanches avant de s’y allonger. — Tu es difficile aujourd’hui, je dois utiliser mon joker. Elle rit, moi aussi. Ses mains viennent alors sur chaque fesses et tout en les écartant largement, elle caresse son anus du bout du majeur. — Viens, j’ai trop envie… Je plonge le visage entre ses fesses et me délecte de son petit trou. Tantôt autour, tantôt dedans, j’excite cette rondelle qui s’ouvre plus rapidement que la veille. Mes mains ont pris le relais de celles de Valérie sur ses fesses. Je descends parfois aux lèvres de son sexe dont l’excessive humidité confirme l’excitation de Valérie qui gémit et réclame la poursuite de la caresse anale. Je doigte son clitoris tout en léchant son anus et Valérie explose d’un violent orgasme. — Prends-moi, prends-moi ! La levrette ...
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