1. Valérie : l'insoupçonnée (11)


    Datte: 11/03/2019, Catégories: Hétéro

    ... est fabuleuse, tous mes témoins d’excitation semblent atteindre leur maximum. Valérie ne gémit plus, elle crie à chacun de mes mouvements de hanches qu’elle accompagne lascivement. Mon orgasme est délicieusement violent. Nous restons quelques minutes sur le lit puis passons chacun à notre tour sous la douche. Valérie se rhabille, sans omettre son soutien-gorge et son string. Nous mangeons les salades sans tarder, car Valérie n’a pas beaucoup de temps. Elle me remercie ensuite d’avoir plié ses affaires et elle ferme sa petite valise. Elle est prête à partir. Derniers baisers. Une soirée de rêve, une nuit torride et une matinée adorable. Le résumé de notre séjour ne peut pas être plus agréable. Nos mains sont un peu baladeuses et cela me donne vraiment très envie d’elle à nouveau. Une dernière fois. Elle n’a pas le temps, je m’en fous. Je la plaque au mur de la chambre et m’agenouille en ouvrant sa robe. — Non, non, non ! Je n’ai pas du tout le temps. Elle me repousse, tente de fermer sa robe. J’insiste, je parviens à écarter son string et lécher son clitoris. Elle me repousse avec de moins en moins de force. J’excite son petit bouton comme un mort de faim. — Vite ! Non ! Oh, mon Dieu ! Oui, ouiii ! Elle jouit. Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits : je la tourne face au mur et la pénètre. — Ooooh ! Noon ! Je dois partir ! Puis : — C’est boooon ! Ouiii ! Valérie me repousse, saute ...
    ... sur le lit à quatre pattes et soulève sa robe sur son string encore écarté. — Tu as deux minutes et tu ne jouis pas. Je serre ses hanches et actionne le marteau-pilon. Vite et fort. Sa résistance vacille mais ne cède pas, les fesses de Valérie tremblent mais elle ne bouge pas. Elle encaisse les charges viriles de mes hanches contre son cul et de ma baïonnette qui déchire son vagin. Sa voix se casse. Elle jouit à en convulser… Je me retire sans avoir jouir. Valérie glisse du lit et me pompe. Quelques secondes suffisent pour que je décharge dans sa gorge. J’aide Valérie à se relever. Elle replace son string, rajuste sa robe et boit de l’eau directement à la bouteille. Elle prend son sac et s’appuie à mon bras jusqu’à la porte. — Ça va aller ? lyrlkkth — Oui, ça va aller. Elle me regarde. Ses yeux expriment de la mélancolie, de la tristesse, une lueur de joie. — Tu me rends folle. Folle de plaisir. Tu ne peux pas savoir comme j’ai envie de rester avec toi cet après-midi. Nous nous enlaçons longuement. — Cette fois, je n’aimerais pas que tu attendions pour nous voir. J’espère que ça va pour toi aussi. Nous nous embrassons et elle s’en va. Le lendemain matin à mon arrivée au travail, j’ai un mail de Valérie dans ma boite aux lettres professionnelle. Elle a plusieurs contraintes, professionnelles et familiales en fin de semaine et propose que nous mangions ensemble le mardi suivant. Rendez-vous accepté. 
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