1. CONtent de son SORt !


    Datte: 22/06/2017, Catégories: fh, soubrette, pénétratio, fsodo, pastiche, humour,

    Voilà une histoire que j’avais déjà publiée il y a quinze ans. Pour être très honnête, l’histoire ci-dessous n’est qu’un prétexte. En effet, je me suis amusé à glisser 27 contrepèteries plus ou moins érotiques dans le texte. Allez, plutôt moins ; j’avoue que les contrepèteries qu’on trouve sur le marché sont souvent graveleuses.À vous, chère lectrice ou cher lecteur, de les retrouver.Le même texte est retranscrit ci-dessous avec les contrepèteries solutionnées.Peut-être avec ce texte pourrai-je passer à la postérité (ou mieux, hériter à la poste) : je sens que mon Génie va Percer !Bonne lecture… _____________________ — Comtesse ! Ça fait longtemps ! Comment allez-vous ? J’étais surpris : la comtesse de la Mite de Mésabis ne m’avait pas appelé depuis bien longtemps. — Très bien, très cher. Figurez-vous qu’à mon âge, je me suis mise au tennis. C’est très agréable comme jeu ; mais n’étant que débutante, j’ai subi bien des sets !— À votre âge ? Mais vous n’avez même pas encore passé les quarante ans… De fait, la comtesse est très jeune d’esprit ; jeune veuve, elle adore Les Nuls. — Flatteur, va ! Mais ce n’est pas grave, c’est gentil de votre part. Cela dit, j’arriverai un jour à bien jouer au tennis : pour parvenir au but, il faut beaucoup de courage, et vous savez que j’en ai à revendre. Je lui répondis : — Moi, je ne m’y risque plus. La dernière fois que j’y ai joué, j’ai presque amputé la jambe de mon adversaire avec un service trop violent. Il faut dire que le vent sifflait ...
    ... si fort… Elle poursuivit : — Dites-moi, pourrais-je venir à dîner chez vous ce soir ?— Je n’ai pas grand-chose à vous offrir, mais ce sera avec grand plaisir !— Si vous voulez, vous pouvez venir chez moi. J’ai encore déménagé ; en fait, j’ai trouvé mon nouvel appartement dans les petites annonces : « Duplex à saisir boulevard des Filles du Calvaire. » J’ai foncé et je l’ai acheté. Étrangement, la comtesse adore déménager. Que de gîtes cette femme habita ! Je lui répondis : — D’accord, je serai là vers vingt heures. Serons-nous nombreux ?— Non, il faut être peu pour bien dîner. Il n’y aura que vous et moi. Et Cosette, naturellement. Cosette, c’est sa bonne. Je me préparai et je partis très tôt. En fait, j’aime bien ce boulevard ; on y trouve des vendeuses pétillantes qui proposent de superbes fripes ; moi qui suis un épicurien à la recherche des sources du bonheur, qu’est-ce que j’ai pu déceler comme jolies demoiselles dans ces boutiques ! Enfin j’arrivai devant son immeuble. Je passai la loge du concierge qui me héla durement : — C’est pour quoi ? On reconnaît les concierges à leur avidité, aussi lui demandai-je l’étage de la comtesse en lui glissant quelques euros dans la main. Après qu’il m’ait indiqué l’étage, je montai et sonnai à la porte du duplex de la comtesse. Cosette, la bonne, vint m’ouvrir et m’amena dans le salon. — Bonjour, Professeur ! Vous ai-je dit que je suis professeur ? Quel beau métier, professeur ! Enfin, je digresse. — Bonjour, Comtesse ! Vous avez une ...
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