1. CONtent de son SORt !


    Datte: 22/06/2017, Catégories: fh, soubrette, pénétratio, fsodo, pastiche, humour,

    ... mine superbe, toujours aussi belle et aussi radieuse…— Toujours aussi flatteur à ce que je vois, minauda-t-elle. Voulez-vous que nous passions à table tout de suite ?— Comme il vous plaira, Comtesse. Mais j’espère que vous ne vous êtes pas compliqué la vie pour moi. La comtesse me répondit : — Non, Cosette a cuisiné des moules. C’est tout simple, mais copieux. Ensuite, nous aurons des tomates farcies. De fait, Cosette nous apporte un énorme saladier de moules marinières qui sent vraiment bon. Bonne de la comtesse, Cosette est une superbe jeune femme d’une trentaine d’années, avec des rondeurs placées où il faut et que j’ai toujours regardée avec gourmandise, m’imaginant allongé contre son corps voluptueux. De manière amusante, elle porte des tresses comme une petite fille de bonne famille. Elle annonce le plat : — Moules marinières à la Cosette ; admirez donc l’écaille de ces moules ! D’où vient cette lueur égrillarde que j’ai cru lire dans ces yeux ? Nous dégustons donc les moules, avec la bonne qui s’est jointe à nous, puis arrivent les tomates farcies. — Goûtez-moi cette farce… Cosette est certainement la meilleure cuisinière que j’ai eue, annonce la comtesse. C’est vrai que la farce est excellente, et, le petit vin aidant, je me laisse à imaginer la charmante bonne se levant et entamant un strip-tease rien que pour mes yeux. Dans quelle extase je serais… La comtesse me ramène à la réalité : — Pour dessert, malheureusement nous n’avons que de la crème Mont-Blanc. Je ...
    ... rétorque : — Ce n’est pas grave : il n’y a rien de meilleur que le goût de Mont-Blanc ! Après ce dessert, Cosette nous offre son jus, un café en provenance d’Afrique noire, au goût très corsé. — Connaissez-vous l’Afrique, cher ami ?— Oui, j’y ai habité. L’Afrique est bonne hôtesse, mais ses canicules ne m’ont pas emballé. Par contre, les Africaines, si ! Mon sexe se dresse dans mon pantalon rien qu’à ce souvenir. Cosette, qui n’a pas ses yeux dans sa poche, a remarqué la bosse qui déforme mon pantalon et me fait un clin d’œil des plus vicieux. J’en reste comme deux ronds de flan. Aurais-je une ouverture avec la charmante enfant ? S’approchant de moi pour me resservir du café, elle en renverse malencontreusement sur mon pantalon. — Comme je suis maladroite ! Veuillez m’excuser, Monsieur, je suis vraiment désolée. Si vous voulez bien m’accompagner dans la lingerie, je vais essayer de nettoyer les dégâts. Je regarde la comtesse pour quêter son approbation, mais je m’aperçois qu’avec la torpeur ambiante elle s’est assoupie dans son fauteuil. Je pense en moi-même« À quoi bon me pousser pour que je vous trompe, Comtesse ? » Je suis donc Cosette. Elle monte à l’étage supérieur et, ouvrant une porte, elle rentre dans la lingerie où j’entre également. Elle referme la porte derrière moi et y met un tour de clé. Ceci fait, elle se retourne et, se collant à moi, elle m’embrasse à pleine bouche, promenant ses doigts sur ma verge qui continue à tendre la toile de mon pantalon. — Enlevons ce ...
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