1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (16)


    Datte: 12/03/2019, Catégories: Trash,

    — Elle a quel âge, cette esclave ? demanda Sandrine. — Vingt-deux. Presque vingt-trois, je pense. — Elle a de gros seins. C’est naturel ? — Presque. Traitement hormonal, pas de silicone, en tout cas. Tâte, c’est du vrai. Sandrine était pensive. Elle se rendait compte que la situation l’excitait au plus haut point. Voir cette superbe jeune femme exposée et sans défense la troublait, en frissonnant elle s’imaginait à sa place et mouillait sa petite culotte. Sur une impulsion, elle cracha dans la bouche béante, l’esclave hoqueta et gémit. — Silence, 32 ! intima Lenoir. Tu seras punie pour tous tes manquements, n’aie crainte. Se tournant vers Sandrine, il lui demanda : — Tu mouilles en voyant cette petite chienne mal dressée ? Tu vas la punir, et durement j’espère. Voici une cravache, c’est l’instrument parfait pour une femme comme toi ; tu vas frapper fort, elle a la couenne solide. — Moi ? Vous croyez ? Je n’ai jamais... — Je me doute que tu n’as jamais ! Mais vas-y, et frappe fort, sinon c’est toi qui tâteras de la cravache ; et je ne serai pas tendre. Mélanie vit sa mère s’empourprer en entendant ces mots. Elle retint un gémissement de honte, elle était coincée, complètement à la merci de Lenoir et de ses manigances. Sa propre mère allait la punir, et sa seule consolation était son anonymat. Perdue dans ses pensées moroses, elle ne vit pas venir le premier coup. Pas très puissant mais asséné sur sa poitrine, il percuta le globe droit qui se déforma un instant. Incertaine, ...
    ... Sandrine s’était reculée, cravache baissée, et observait l’onde de douleur traverser le corps voluptueux de sa victime. Soudain, un barrage craqua dans son esprit et elle asséna un autre coup, bien plus violent, sur l’autre sein. 32 se tordit mais ne poussa pas le cri auquel elle s’attendait, aussi elle recommença, un coup, un autre, encore... Lenoir retint son bras et elle reprit pied, à nouveau consciente des personnes autour d’elle. Lenoir qui la dominait, une main sur son épaule, l’autre retenant son bras ; le grand Italien, Freddy, et le colosse Noir couvant les deux femmes d’un même regard affamé ; et 32, la si jolie esclave, qui tremblait comme une feuille, la peau luisante de sueur et les seins cruellement marqués. « C’est moi qui ai fait ça ? » se demanda-t-elle, confuse. « Ça lui apprendra à être si belle, si fraîche, si désirable, à cette petite pute ! » — C’est bon pour le moment, mais tu reprendras la punition après le repas. Passons à table. Pleurant à l’abri de ses verres fumés, Mélanie servit du champagne aux quatre convives ; Sandrine la remercia d’un signe de tête gêné, mais les hommes l’ignorèrent superbement. À pas lents, elle regagna la cuisine, prête à intervenir à la moindre demande. Elle entendait tout, bien sûr, et elle comprit rapidement que sa mère était au centre des conversations de plus en plus grivoises et même vulgaires. — Alors, Sandrine, interrogea Freddy, tu es libre et dispo, pas de mari, de petit ami ? — Et bien, non, je suis divorcée ; ma ...
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