1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (16)


    Datte: 12/03/2019, Catégories: Trash,

    ... foi, je ne m’en porte pas plus mal. — Tu vis seule ? Tu es ici, à Bordeaux ? — Oui et non. Je vis seule à Périgueux. Ma fille habite Paris, maintenant. — Ah ! Mélanie ! Elle doit revenir ici, je crois, intervint Don. — Oui, expliqua Sandrine, elle a réussi le concours pour être juge. Je ne la comprends pas toujours, mais c’est une tête, je suis fière d’être sa mère, se rengorgea-t-elle. — Et toi, tu fais quoi dans la vie ? — Pff... Hôtesse d’accueil, caissière, quoi ! — Personne ne te drague, au travail ? Les clients, le patron ? — Si, ça arrive, c’est vrai. — Ton patron ? Et alors ? — Oui... Je n’ai pas trop le choix, si je ne veux pas être virée. — Tu le suces ? — Oui... J’ai honte, mais... — Tu n’as pas à avoir honte, coupa Lenoir. Lui si. C’est tout, tu le suces ? Ou il te baise aussi. — Oui, aussi. Mon dieu... Mélanie voyait sa mère rougir jusqu’aux oreilles en répondant. Elle baissa la tête sur sa coupe qu’elle vida d’un trait pour se donner une contenance. Silencieusement, 32 vint resservir les quatre personnes. — Et il t’encule, aussi ? demanda Lenoir, impitoyable. — Oh mon dieu... — Dieu n’a rien à voir là-dedans ! tança Freddy. Réponds-nous ! — Oui... murmura Sandrine, à l’agonie. — Tu es vraiment une pute, si tu te fais enculer par ton patron. C’est bien ça ? — Je vous en prie, non... — Je répète : tu es une pute, non ? — Oui... répondit Sandrine, accablée, dans un soupir. — Parle plus fort, cria Freddy, personne n’a entendu ! — Oui, je suis une pute... pleurnicha ...
    ... la petite blonde. — Alors va dans ta chambre, tout de suite. Tu as sur ton lit tout ce qu’il te faut porter, et rien de plus. Tu as compris, petite pute ? — Oui... — Oui Monsieur ! À partir de maintenant, tu nous appelles tous Monsieur, c’est compris ? — Oui Monsieur. — Allez, dépêche-toi, tu as dix minutes, si tu as même une minute de retard tu seras punie. Tête baissée, les joues brûlantes de honte et le ventre en fusion, Sandrine hocha la tête avant de se lever précipitamment et de gravir l’escalier. Sur son lit, plusieurs articles soigneusement alignés, bien en évidence : un soutien-gorge et une culotte en latex noir, deux bottines à talon haut en cuir noir, et un plug un plastique également noir. Sandrine fit la grimace en le découvrant, la partie ovoïde lui semblait volumineuse, bien trop pour ce qu’elle était sensée en faire. Elle avisa un pot de lubrifiant posé sur son chevet et se décida d’un coup. Elle se déshabilla rapidement, sans prendre le temps de plier ses vêtements, se rua aux toilettes pour se soulager, nettoyer et lubrifier son anus. En se mordant la lèvre inférieure, elle pesa sur la large base du plug et tenta de se décontracter. Ses muscles cédèrent non sans douleur et l’œuf se nicha dans ses reins. Sandrine mit une bonne minute à passer la culotte et le soutien-gorge, puis chaussa les bottines en grimaçant à nouveau : elles étaient étroites et un peu petites. Elle les laça néanmoins rapidement, consciente du temps écoulé. Se redressant, elle se vit dans ...