Tome 1 : Le printemps
Datte: 18/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
frousses,
hotel,
caférestau,
douche,
amour,
Oral
hdanus,
nostalgie,
... acceptes de te faire pénétrer à ton tour…— Euh… Après tout, pourquoi pas. Elle eut à nouveau ce sourire espiègle qui illumina son visage. — Dans ce cas, tu vas m’obéir et te pencher en avant. Ce que je m’empressai de faire. Elle prit une dose de gel douche et commença à me masser doucement les fesses, s’attardant bientôt sur mon anus qui finit par s’ouvrir lentement sous la poussée d’un de ses doigts. C’était la première fois qu’une femme me procurait ce genre de caresse et, pour l’instant, je dois avouer que je n’en tirais pas de plaisir particulier. Un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Je me sentais dilaté et commençais à éprouver, toute proportion gardée, ce que pouvais ressentir une femme, du moins le pensai-je. Elle commença un va-et-vient léger sur une zone se trouvant juste derrière mon pubis. Au bout d’un instant je ressentis effectivement un plaisir certain à me faire caresser, mais sans érection, juste une sensation agréable qui partait de l’intérieur de mon anus et qui se dirigeait vers ma verge en transitant par mes testicules. — Tu aimes ? me demanda-t-elle.— Oui. C’est surprenant et en même temps très suave. Elle s’appliqua alors à frotter encore plus doucement cette glande qui, décidément, révélait des surprises. De plus, de son autre main, elle prit mes bourses qu’elle caressa et pressa à leur tour. Cette fois, ce fut comme si ma verge venait de recevoir un signal et se mit à raidir. Au bout d’un moment, et sans que ma compagne ne touche mon gland, je ...
... ressentis un bienfait différent de l’orgasme tout en éjaculant un liquide clair en un long jet. Mon amie me sourit alors, très fière de m’avoir enseigné une nouvelle façon de jouir. — Comment était-ce ?— Fabuleux. Tu n’as rien à envier aux prêtresses de l’amour de l’Antiquité. Tu féliciteras ta copine de ma part. Elle reprit une dose de gel douche pour cette fois me savonner sans arrière-pensée érotique. — Cette fois, il est temps de dormir si je veux être fraîche pour prendre l’avion. Nous nous séchâmes et retournâmes nous coucher. Après un chaste baiser, nous nous endormîmes rapidement, repus du plaisir de l’autre. Son téléphone réglé sur alarme nous réveilla dans la matinée. Le room-service nous trouva au lit et déposa nos copieux petits déjeuners sur une petite table. Dès le départ de la serveuse, nous sautâmes du lit pour reprendre des forces, d’autant que l’air embaumait le café (pour moi) et les viennoiseries. Kathy, en bonne Irlandaise, se servit un thé. Le déjeuner englouti, nous nous remîmes au lit pour profiter une dernière fois de nos sens. Ce fut capiteux et langoureux, comme seuls peuvent l’être les ébats de personnes devant se quitter. Tout en nous habillant, ma maîtresse me confia : — Écoute, Patrick, je regrette de ne pas pouvoir rester plus longtemps. J’ai passé des instants fabuleux avec toi, mais ma vie est compliquée et je ne peux pas te proposer autre chose que ce que je t’ai déjà donné. Je ne souhaite qu’une faveur : quittons-nous ici, ne m’accompagne ...