1. Pauline - années adulte (24)


    Datte: 14/03/2019, Catégories: Trash,

    ... ce qui explique mon retard pour venir ici, des dizaines de personnes - dont un juge - sont venues témoigner que je n’étais pas sur les lieux à ce moment-là. Je suis blanc comme neige… Mais, d’après les cicatrices que je vois sur tes poignets, le suicide semble être une affaire de famille. — Soi intelligent, et dégage d’ici avec tes copines ! — Sinon quoi ? — Je te laisse imaginer, et je te ferai bien pire. — … Je vais partir, mais pas sans Yvana. J’ai des projets d’avenir pour elle. Il se tourna vers moi et m’ordonna "chienne, mais toi en position pour lui montrer qui tu es vraiment !". L’homme me lâcha la gorge. Je ne réagissais pas, je ne bougeais pas, je n’avais pas envie de faire ça. Il frappa alors Pauline plusieurs fois au visage. J’ai crié, je lui ai supplié d’arrêter, mais ma grand-mère me dit avec une voix étrangement calme, tout en souriant : — Regarde comme il est faible et lâche. Il n’ose même pas s’attaquer à moi tout seul. Il a besoin qu’un autre me tienne pour oser me taper ; il a trop peur. Tu vaux beaucoup plus que lui, comprends-tu ? — … Oui. Je le vis se mettre en colère alors que ma grand-mère le fixait avec le même sourire. Elle n’avait pas peur, mais lui n’avait pas l’air rassuré. Il ordonna à l’homme qui la tenait : « lâche là ». Ma grand-mère ne bougeait pas, restait bien droite devant lui, toujours avec le même regard posé sur lui. Patrice lui dit en s’approchant d’elle : — Alors ? Tu comptes faire quoi maintenant ? Je n’ai pas peur de toi. Mon ...
    ... petit doigt m’a dit que tu vas bientôt rejoindre ton enculé de mari. T’es contente ? — Il est là en ce moment même. Il nous regarde et il me parle. Il me dit que Jade est toujours vivante. Il me dit que tu ferais mieux de profiter de tes derniers instants car lorsque tu seras mort, tu vas en chier pendant l’éternité. — … Là, je suis sur le cul. Je ne pensais pas que tu étais aussi cingl… Un bruit sourd, puis un silence total d’une seconde avant que Patrice ne se mette à beugler comme un taré, allongé sur le sol. Ma grand-mère venait de lui administrer un coup de poing d’une force magistrale. Il se tenait le visage, du sang coulait d’entre ses mains : elle lui avait fracassé le nez. Dans une rage noire, il ordonna : — Amène-la dans la cuisine et coupe lui les veines ! — Le meurtre ne fait pas partie de notre arrangement. On n’est venu que pour prendre la fille. — Quoi ? Putain, ce n’est pas le moment de me faire chier ! Ce n’est pas un meurtre, mais un suicide !... Combien ? — Payable d’avance. pdvpggru — … Amène la dans la cuisine et surveille là le temps que j’arrive. Je m’en chargerai moi-même puisque c’est ça. Et j’aurai plaisir à la voir se vider de son sang ! — C’est comme vous voulez. Privé de la présence de ma grand-mère, je me sentais bien moins forte. Il s’était relevé, son nez avait triplé de volume et commençait à prendre une couleur violacée. Il me fixait, je détournais le regard. Il me demanda : — C’est qui le morveux ? — Personne. Je reçus une gifle puissante, mes ...