Pauline - années adulte (24)
Datte: 14/03/2019,
Catégories:
Trash,
... yeux ont commencé à se remplir de larmes. — Je t’ai vue lui tenir la main en arrivant. Tu ne voudrais tout de même pas qu’il lui arrive quelque chose, pas vrai ? — Il n’a rien à voir avec tout ça, laisse-le partir ! — Je t’ai demandé de faire quelque chose, il me semble... — … Non ! Il fit alors un geste, et l’un des types se mit à frapper Neven au visage. Mon amoureux tomba au sol, puis reçut des dizaines de coups de pied dans le ventre. Je criais, je pleurais. Je me prenais également des gifles pour me faire taire et ils se sont arrêtés. — Chienne ! Je perds patience. As-tu compris ce que j’attends de toi ? — Oui. Et Neven essaya de me dire de ne pas lui obéir avant de se prendre à nouveau une rafale de coup de pied dans le ventre. Je lui ai alors crié "Je ne suis pas stupide. Je sais que tu vas aussi le tuer. Je ne t’obéirai plus jamais", et je lui ai craché au visage. Je me suis pris un coup de poing qui m’assomma presque. Allongée sur le sol, j’étais maintenue par le type qui m’avait prise à la gorge au départ. Il donna à Patrice un couteau sorti d’une de ses poches. La peur que j’éprouvais s’amplifia d’un coup. J’ai arrêté de me débattre, il découpa mes vêtements. Une fois entièrement nue, Patrice me dit "je vais reprendre ton dressage du début !", puis il ...
... ordonna à celui qui me tenait : — Amène la dans la camionnette, on a suffisamment perdu de temps comme ça. — Et pour le témoin ? — J’ai une solution. La moto est vraiment trop dangereuse, surtout en hiver. — Tant que c’est vous qui vous en chargez… Par contre, vous aviez dit qu’on pourrait s’amuser avec la fille avant. — Pendant le trajet, vous aurez tout le temps qu’il vous faudra. Bon, je vais maintenant m’occuper de la vieille conne ! Je le vis partir dans la cuisine. J’ai tenté de me débattre, mais l’homme était bien plus fort que moi. Il m’entraina dehors. Je ne comprenais plus rien : le jardin était rempli de policiers... Il n’y avait eu ni sirènes, ni gyrophares. Celui qui me tenait me lâcha, on vint me chercher, on menotta l’homme qui s’était allongé sur le sol, menacé par des pistolets, et tout ça dans un incroyable silence. Plusieurs policiers rentrèrent alors dans la maison pointant des mitrailleuses. Neven sortit et fut pris en charge directement. Quelques instants plus tard, j’ai poussé un cri de peur et de surprise en entendant plusieurs coups de feu. J’ai voulu courir pour aller voir, on me bloqua — Ma grand-mère est dans la cuisine. — Elle va bien. Ne vous inquiétez pas... Regardez, elle arrive là-bas… Yvana, il va falloir que nous parlions. Je m’appelle Marc.