1. Ma nièce ? Une vraie p'tite salope (1)


    Datte: 15/03/2019, Catégories: Trash,

    J’ai épousé Clarisse il y a trois ans mais je vis avec elle depuis 2011. C’est un second mariage pour elle comme pour moi alors même si nous nous aimons, nous sommes un peu désenchantés. Nous croyons plus aux compromis raisonnables et aux choix réfléchis qu’au grand frisson et à l’amour inconditionnel. Il y a des bons côtés et des moins bons dans ma nouvelle vie. Je classe plutôt les innombrables et interminables repas dans la famille de Clarisse dans la seconde catégorie. Nous passons beaucoup de dimanches avec les parents et la sœur de ma femme... Et quand je dis "sa sœur" il faut comprendre la sœur en question, son mari, leurs quatre enfants, une fille et trois garçons ainsi que les petites amies des deux plus vieux. Quand ma femme dit "Ma sœur vient déjeuner", il faut prévoir huit couverts. Je m’entends plutôt bien avec tout ce petit monde, il faut dire que je fais les efforts nécessaires pour cela. En fait il n’y a qu’une seule chose qui soit problématique: l’attitude de la nièce de mon épouse, Mélanie. Elle m’a toujours "bien aimé", comme on dit, mais très vite j’ai compris que dans son esprit de jeune fille en fleur, cela allait bien plus loin que de la simple affection. N’ayant aucune envie d’aller en prison ni de divorcer de nouveau, j’ai toujours évité au maximum les contacts avec cette gamine qui m’envoie sourires et regards pleins de sous-entendus depuis que je la connais. Aujourd’hui elle est majeure, elle a 19 ans ce qui résout l’aspect judiciaire du ...
    ... problème mais pas le reste. Le mois dernier, la famille célébrait les 25 ans de son frère aîné et une salle avait été louée pour l’occasion. Il y avait un monde fou, famille éloignée, copain de facs ou de lycée des quatre enfants, amis, voisins et d’autres personnes dont je n’aurais pas su dire le lien qu’elles avaient avec ma belle-famille. Pour couronner cela, ma femme m’avait saoulé toute la journée en me reprochant de ne pas avoir fini de repeindre l’entrée de la maison. J’avais tenté de lui expliquer dix fois qu’il nous manquait une partie de la peinture nécessaire et que je ne la recevrais que le jeudi suivant, rien n’y avait fait. Elle avait absolument tenu à gueuler pendant près de deux heures. Cela m’avait mis d’une humeur massacrante, d’autant plus à quelques heures d’une énième festivité familiale. Dès l’entrée dans la salle des fêtes, je laissais donc ma femme avec ses parents et j’allais en direction du bar improvisé pour affoner* un demi de bière (*petit clin d’œil à mes amis belges). J’avais à peine reposé mon verre que Mélanie, la nièce déjantée de mon épouse, s’était déjà glissée a côté de moi. Elle s’était faite belle: coiffure réalisée par un professionnel, chaussures à talons, robe courte à fines bretelles qui mettait ses cuisses de sportive et ses seins volumineux en valeur. — "Bonjour Tonton, tu me fais un câlin ?" Elle se serra contre moi avant que je ne réponde et elle resta accrochée à mon torse en continuant à discuter. — "Qu’est-ce que tu veux à la fin ...
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