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Ma nièce ? Une vraie p'tite salope (1)
Datte: 15/03/2019, Catégories: Trash,
... Mélanie ?" — "Je pense que ça a toujours été clair… Non ?" — "J’ai 41 ans, tu en as 19 et je suis marié avec ta tante. C’est n’importe quoi" — "T’aurais dû me sauter il y a deux ans, t’aurais eu moins de quarante ans... si c’est ça qui te gêne" Elle rigola et j’avais envie d’en faire autant. Elle avait de la repartie, on ne pouvait pas lui enlever cela. — "Tu ne seras pas déçu. Tu pourrais me faire tout ce que tu veux. Comme dans les films de cul". Je regardais autour de moi puis je profitais de la promiscuité et du fait que Mélanie soit toujours blottie contre moi pour glisser une main sous sa jupe et empoigner ses fesses. Elle me fixa sans se dégager alors je poussais plus loin le défi en glissant ma main sous la dentelle de sa culotte. Le bout de mes doigts progressa sur sa chaire délicate jusqu’à s’insinuer dans le sillon fessier de l’ingénue. — "Alors ? Tu fais moins la maline maintenant." Prise à son propre jeu, je m’attendais à ce qu’elle se dégage ou qu’elle panique mais sa réponse n’alla pas dans le sens où je l’imaginais. — "Viens me baiser. Tu ne regretteras pas." Ce n’était pas ce que j’avais voulu mais je sentais la peau douce se son cul contre mes doigts, elle m’offrait une vue plongeante sur ses seins rebondis, elle me promettait de se plier à toutes envies... et je n’étais qu’un homme, pas réellement satisfait sexuellement par son épouse qui plus est. Alors quand elle sentit ma volonté flancher et qu’elle me tira par la main pour m’emmener à l’autre bout de la ...
... grande salle, je la laissais faire. Nous franchîmes une porte puis montâmes un escalier avant de rentrer dans une sorte de bureau. Mélanie me montra la serrure et la clé qu’elle avait ramassée puis elle nous enferma. Elle ne voulait sans doute pas me laisser le temps de changer d’avis alors elle fit très vite tomber les bretelles de se robe et jaillir ses seins de leur écrin. Elle vint coller son dos contre mon torse et elle se frotta à moi tout en amenant mes mains sur sa poitrine dénudée. — "Regarde Tonton, ils sont ronds et fermes presque comme si c’était des faux". Elle en faisait trop mais ce n’était pas pour me déplaire. Je serrais mes doigts pour la peloter comme on pétrirait des miches de pain mais elle ne protesta pas. Au contraire, elle soufflait et ondulait contre moi pour m’encourager à me faire plaisir. Et pour être honnête, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas touché une femme aussi bien faite. Je fermais les yeux et j’oubliais tout, mon mariage, son âge et nos liens familiaux même s’ils n’étaient que "par alliance". Je ne ressentais plus que le contact de sa poitrine sous me doigts et de ses tétons qui se laissaient pincer lorsque je ne soupesais pas les formes généreuses de la jeune femme. Je me rendis compte de ce que j’étais en train de faire une minute plus tard mais il était déjà trop tard. Et dans mon esprit enivré par l’odeur délicate de Mélanie je concluais que quitte à fauter, le mieux était sans doute de consommer totalement cet adultère. — ...