Petit bourgeois surdosé (2)
Datte: 15/03/2019,
Catégories:
Gay
En fait, je dormis, fort peu. A chaque fois qu’un mec avait envie de tirer sa crampe sans avoir la patience d’attendre que la chatte ou le cul de ma proprio fussent disponibles, il venait se coller à moi, se frottait contre ma raie, me réveillant, et me sodomisait. Et, comme au fur et à mesure qu’ils découillaient ils atteignaient le deuxième voire le troisième orgasme moins rapidement, les pétages de cul duraient à tel point que je nen éprouvais plus que de la passivité. Je n’eus qu’un second orgasme dans la nuit. A la fin, je ne savais plus qui était dans mon cul. Les mecs se suivaient, me démontaient, sans mot dire, à part quelques insultes murmurées pour ne pas réveiller les autres. — Tu las sens ma queue petite pute, t’aimes ça hein, — Tu me reconnais, tu t’la remets ma grosse pine... Elle t’a fait du bien tout à l’heure, t’a couiné hein ? T’en veux encore de ma jute plein ton trou petite pute ? J’ai refait les niveaux. L’expression "petite pute" revenait invariablement. A la fin de la nuit, j’étais plein de sperme. Mon cul, mon corps, mon visage, en étaient couverts, à tel point que je me demandai comment ces mecs avaient pu juter autant de fois et même, s’il n’était pas arrivé, en pleine nuit, comme je le soupçonnai, quelques renforts particulièrement bien membrés et bien couillus, prévenus de la bonne aubaine qui les attendait. Au final, il m’est impossible de dire combien de bites je me suis pris. Ce qui est sûr c’est que j’avais mal au cul... Et partout d’ailleurs. ...
... J’étais brisé. Finalement, vers quatre ou cinq heures du matin, le flot cessa et s’interrompit tout à fait. Les mecs s’endormirent. J’aurais pu rester longtemps comme eux, tant la fatigue m’avait submergé, mais l’inconfort de la situation et la lumière du jour à laquelle je ne suis pas habitué, dormant toujours dans le noir, me réveillèrent. Il devait être à peu près huit heures. J’avais un peu froid Je récupérai ma proprio qui était avec un jeune mâle magnifique que je n’avais pas vu la veille. Plutôt que de rentrer directement à Angers, elle me fit prendre la direction de sa résidence secondaire où, après avoir dormi longtemps, elle me demanda de la baiser. Je le fis avec plaisir car elle est vraiment bonne. Mais en même temps, je me rappelais mes amants de la nuit, la perte de mon pucelage, et je me dis que je préférais les mecs. C’était assez confus encore dans ma tête mais je pense que je tendais vers là. Bi ou gay ? Il y avait quand même à approfondir la question et à m’élargir... À la deuxième hypothèse. C’est sur ces idées que je rentrai chez moi. Je dois dire que tout cet épisode me trottait dans la tête et, plus les heures passaient plus l’envie d’y revenir me tourmentait... Enfin d’y revenir avec les garçons ; bref, je me matagrabolisais le cerveau pendant toute la journée. L’option gay revenait en force. C’est alors que Florian sonna. J’étais en train de bosser, en T-shirt et pantalon de survêt. Simon répondit à l’interphone, entrouvrit ma porte : — C’est Florian, ...