Petit bourgeois surdosé (2)
Datte: 15/03/2019,
Catégories:
Gay
... merveille. Bien certainement je mouillai et le va-et-vient devint des plus agréables. Je ne pus retenir des gémissements de satisfaction — Tiens regarde, comme elle aime ça la petite pute. Elle est bonne ma grosse queue, ouais ? Tu en bavais d’envie salope ? Y’a longtemps que j’avais repéré ton manège tu sais. Tu crois que j’avais pas compris en te voyant me mater ma bite dans les douches ou pendant les touzes ? Eh ben maintenant, elle est bien entière dans ton cul, t’es contente ? — ... — Dis que t’aime ça salope ! Suivie d’une terrible claque, cette injonction ne put qu’avoir une réponse positive que j’exprimai à voix basse cependant, ne sachant pas si mon coloc était toujours là ou s’il avait regagné sa piaule. — Plus fort, dis le tout haut que t’aime ma queue. — J’aime ta queue ! — Dis que t’es une petite pédale. — J’suis... J’suis... — Dis-le bordel ! — J’suis une pédale... — Ouais, et une bonne même... J’aime bien sauter les petites pédales comme toi, bonnes sous l’homme, pas fainéantes du fion, qui remuent bien... Et il continua à me sodomiser brutalement. Il ressortait intégralement sa grosse pine, lentement, la guidait de la main pour qu’elle entre d’un seul coup et la poussait violemment jusqu’à la garde, jusqu’à ce que ses poils s’écrasent sur mes fesses et que je sente ses couilles se balancer contre moi. A chaque fois, ce bâtard m’arrachait un cri de douleur. — Aïe ! Tu me fais mal Flo ! Et plus je me plaignais, plus il y allait fort. Je finis par me taire en me ...
... mordant les lèvres pour contenir ma douleur et mes plaintes. Cette stratégie fut payante. — Amène-moi ta chatte salope, dit-il en m’agrippant par les hanches et en m’attirant vers lui, de façon à ce que je me plie en deux. Une fois mes bras tendus et mes mains appuyées contre le mur, il me prit par les épaules et commença à aller et venir rapidement dans mon cul. Mon cul encaissait et le bruit des chairs s’entrechoquant résonnait dans la pièce. La position était beaucoup plus agréable. Ma joue n’était plus écrasée contre la cloison et la tension qui avait meurtri mes cervicales se relâchait. J’avais frôlé le torticolis. En revanche, je ne risquais pas le tortiCULis, tant les muscles de mon postérieur s’étaient désormais assouplis sous la vague de plaisir que le marteau-pilon de Florian provoquait. Mon champ de vision s’était élargi et j’aperçus les jambes de Simon qui, immobile et silencieux, me regardait me faire défoncer. Florian continuait de m’agonir d’injures. Tout à coup, il lâcha mes épaules et se mit à me caresser les tétons avant de les pincer fortement sans crier gare... Je gémis de la douleur et du plaisir mélangés. — Regarde-moi ça. Ils sont gonflés tes p’tits nichons. T’es vraiment une petite chienne en chaleur. T’es encore plus pute que je croyais ! Cela eut comme effet de l’exciter davantage s’il était possible. Il alternait entre claques sur les fesses, prise en tenaille des tétons, baffes sur les joues sans oublier parfois de prendre ma mâchoire dans l’étau ...