Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (14) : Christine, ma femme
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Rachid m’avait offerte à ses cousins, il était bien décidé à poursuivre ma transformation définitive en «salope intégrale» comme il disait. C’est d’ailleurs ce que je voulais et Philippe était d’accord. Une nouvelle étape fut franchie grâce à Christine et Jean. On se rappellera qu’ils étaient un couple libertin très en vue dans notre ville. Christine avait été mon témoin lors de notre mariage avec Philippe et avait joué un rôle très important pour me pousser, ce soir si symbolique, à mon premier adultère. Bisexuelle, très portée sur les femmes, elle était depuis ce jour-là frustrée de ne pas m’avoir mise dans son lit. Quelques mois avant ma rechute définitive dans l’hypersexualité, le couple avait tenté, avec la complicité active de Philippe, dont Christine n’avait pas hésité à devenir la maîtresse, de me faire basculer lors d’une soirée où j’aurais dû appartenir à Jean, avant que les autres invités ne profitent de mon corps. L’opération avait échoué de justesse, du fait d’une défaillance inattendue de Jean. Le couple avait très mal vécu cet échec et considérait que je leur devais une réparation. Christine avait rencontré Rachid pour mettre au point les détails de l’opération. Sans me demander mon avis, ni celui de Philippe, car il disposait de moi comme il l’entendait. Rachid avait donné son accord. C’était pour lui l’occasion de me faire franchir un nouveau pas. L’opération se déroula comme prévu en trois temps : je devins la femme de Christine, puis, après une courte « ...
... mise à disposition » de Jean, ce fut la soirée de ma première vraie partouze, si l’on excepte ce qui s’était passé lors du séjour chez Gianni et Maria (voir mon premier récit) ou à Rio avec mes trois amants brésiliens. Je vais d’abord parler de cette journée avec Christine, très importante dans mon parcours saphique, mais qui fut aussi un moment candauliste, pour chacun des protagonistes de cette journée. C’était une belle journée de septembre. Nous nous promenions dans la rue avec Rachid. Nous étions enlacés, il posait ostensiblement une main sur mes fesses, pour montrer à qui j’appartenais. Il n’hésitait pas à m’embrasser à pleine bouche. Il voulait que je m’habille ultra-court, sans culotte ni soutien-gorge. Il aimait que je mette un chemisier très échancré, de préférence assez translucide, de façon à ce que mes petits seins fermes se voient bien. Il n’hésitait pas à laisser un ou deux boutons du chemisier ouverts après avoir ploté mes seins. Quand l’envie lui prenait, dans des toilettes de café, de restaurant, de cinéma, il me prenait avec brutalité, me causant une jouissance telle que j’avais le plus grand mal à contenir mes cris de plaisir. Il faisait même ça dans des endroits où nous risquions d’être surpris, comme des parcs ou des parkings, le danger accroissant encore mon excitation. Les gens qui me connaissaient ou connaissaient Philippe changeaient de trottoir, le couple des T était définitivement devenu un objet de scandale. Ce jour-là donc, nous avons rencontré ...