Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (14) : Christine, ma femme
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Christine. Ce n’était pas un hasard, je l’ai su plus tard. • Olga, ma chérie, je suppose que c’est Rachid, ton male. Enfin tu as fini par écouter Philippe, qui ne veut que ton bonheur. Il sait ce dont tu as besoin. Laisse-moi te prendre dans mes bras. Disant cela, elle ne m’embrassa pas sur les joues, mais sur les lèvres, alors que sa main se posa sur mes seins, puis sur mes fesses. • Je n’ai jamais autant désiré une femme que toi, Olga. • Moi aussi, Christine, depuis la première fois que je t’ai vue. • Il n’y a pas de problèmes, Christine, Olga est à toi. Allez chez nous, les filles et aimez-vous. Je vous rejoindrai ensuite, car j’ai envie de mater et ensuite de vous prendre toutes les deux. Rachid n’hésitait plus à dire chez « chez nous », depuis qu’il s’était installé et qu’il occupait le lit conjugal. Bien qu’impatientes de nous aimer, nous avons mis un peu de temps à regagner le lieu qui était désormais celui de toutes mes débauches. Nous nous tenions par la main, Christine et moi, nous nous arrêtions par moment pour nous embrasser fougueusement à pleine bouche. Christine prit le temps d’appeler Jean : • Chéri, je suis si heureuse. Je suis avec Olga. Dans quelques instants, je vais faire l’amour avec elle. 7 ans que j’attends que ça. Je suis heureuse. Je suis amoureuse. • N’oublie pas ce que je t’ai demandé, Christine. • J’en parlerai à Rachid, elle est à lui désormais. Une fois de plus, je fis scandale dans mon immeuble. Une mère de famille sortit de l’ascenseur, cet ...
... endroit où quelques semaines auparavant j’étais devenue la femelle de Rachid, et, offusquée, me vit dans les bras de Christine. N’en pouvant plus, celle-ci avait ouvert mon chemisier et s’occupait de titiller la pointe de mes seins avec sa langue, tandis que sa main explorait ma chatte trempée. • Vous pourriez au moins faire vos cochonneries chez vous ! C’est honteux ! • Avoue que ça t’excite, espèce de frustrée ! Viens me voir quand tu veux, je te montrerai le plaisir qu’on peut connaître entres femmes. Nous sommes à peine entrées que je la prends dans mes bras, ma bouche part à la recherche de la sienne. Nous nous embrassons longuement. Mon Dieu que c’est bon une langue de femme dans ma bouche. J’arrive à cesser de l’embrasser pour la déshabiller lentement. Quel corps splendide, avec ses seins à la pointe bien dressée. Son ventre plat attire mes mains, j’aime ses quelques poils sur son bas ventre. J’ai eu raison de la vouloir et de vouloir qu’elle soit désormais ma femme, comme Rachid est devenu mon mâle. J'étais très excitée et je m’offrais à Christine: Christine m’a mise une main sous la jupe et m'a caressé les cuisses que j'ai écartées. Elle a trouvé mon sexe et mon bouton qu'elle a branlé. Elle savait par Philippe que j'aime être branlée. Elle m'a demandé de la branler aussi. Nous avions envie une de l’autre depuis si longtemps, nous avons joui très vite. Elle a commencé à me déshabiller et j'étais nue devant elle. Elle se collait à moi et m'embrassait dans le cou et sur ...