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Une journée au paradis.
Datte: 16/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme
... délice que je me régale de ce divin breuvage et que je savoure l’honneur qu’Elles me font de pouvoir Les lécher ainsi. Kassi m’ordonne alors de me coucher sur le dos sur le drap de latex. Avec Son pantalon de cuir, Elle ne pourra pas participer à la fête que je soupçonne de se préparer lorsque je vois Tana et Saphir enjamber mon corps, l’une à hauteur du sexe, l’autre de la poitrine. Elle se positionne donc derrière ma tête et entreprend de m’exciter les tétons, ce qui ravive une érection qui ne se sera finalement que très peu dissipée au cours de la journée. Je sens les premières gouttes chaudes dégouliner sur ma queue et mon tronc. Les caresses de Kassi me rendent fou. Je commence à gémir …. et Elles trois à rire. Sitôt la dernière goutte tombée, Lady Tana s’empare de ma hampe et commence à la masturber délicatement, tandis que Saphir me caresse les bourses. Très vite, je sens le plaisir monter en moi et Leur en fait part. Elles cessent aussitôt Leurs attouchements, provoquant mon insupportable frustration. « Tu ne jouis pas sans notre autorisation, salope ! ». « Bien Maîtresses. » Et Elles reprennent. Je n’en peux plus. Je demande l’autorisation de me libérer et considère l’accélération de la ...
... masturbation comme un consentement. Et c’est dans un hurlement libérateur que mon corps se tend en arc et que j’éjacule une telle quantité de sperme que j’ en reçois jusque dans mon visage.. Je sens immédiatement les doigts de ces trois furies racler la liqueur tombée aux différents endroits de mon corps pour me la ramener en bouche, m’obligeant à l’avaler jusqu’à la dernière goutte. Sensation superbe, inédite. La redescente se fait comme sur un nuage, sous les caresses de mes trois Déesses. Maîtresse Tana me dépose un baiser sur la bouche et me glisse à l’oreille : « Bravo Antoinette, je suis super fière de ma reine des putes ». Et voilà comment se termine la plus belle journée de 25 années de vie SM. Je monte me doucher et redescend pour une charmante conversation avec ces Dames. Je me confonds en remerciement pour ce qu’Elles m’ont permis de vivre aujourd’hui. Puis vient malheureusement le moment où il faut revenir aux réalités de ce bas monde et reprendre le morne train-train quotidien. Merci mes trois Grâces. Je n’attends déjà plus que le moment de revivre pareils instants, même si je sais que le coût d’une telle journée m’obligera certainement à attendre longtemps avant d’espérer pouvoir en revivre une semblable.