Une journée au paradis.
Datte: 16/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... gardant ta tenue en-dessous, tu peux changer de chaussures, nous sortons t'acheter ta perruque et quelques accessoires. Prends ton sac .... vide pour que tu puisses y ranger tes vêtements civil ..... tout à l'heure !!! Nous sommes prêts en quelques minutes. Elle s'est rhabillée comme lors de notre rencontre ce matin. Nous sortons et je La suis. Je constate immédiatement qu'Elle m'emmène dans une galerie proche du donjon où se situe un magasin fétichiste bien connu du centre-ville et c'est effectivement cette porte que nous poussons. Maîtresse semble y être connue comme le loup blanc. Après quelques effusions avec le personnel, nous montons à l’étage pour y choisir une perruque. Durant les essais, quelques clients viennent faire du lèche-vitrine et nous regardent d’un œil mi amusé, mi intrigué mais, nous semble-t-il, majoritairement envieux. Notre choix se porte sur une coiffe aux cheveux mi longs noirs, terminés par des mèches blondes. « Tu la gardes et tu viens près de moi. » Je m’approche et Elle sort de son sac à main un tube de rouge à lèvres carmin dont elle me peint la bouche. « Voilà, tu as de plus en plus l’air d’une vraie pute maintenant ». Et c’est à ce moment que Ses yeux croisent une superbe paire de cuissardes. En quelques minutes, l’affaire est réglée et Elle décide de profiter immédiatement de son achat. Imaginez le look : blouson de cuir, pantalon de cuir et cuissardes. C’est alors qu’Elle sort de son sac à main une laisse métallique qu’Elle attache au collier ...
... rouge qui ne m’a pas quitté depuis ce matin. Nous réglons nos achats et c’est ainsi, Elle bardée de cuir et moi, tenu en laisse, le cul pluggé, la bite encagée, avec ma perruque et bouche de pute que nous quittons le magasin. « Serre-toi bien contre moi, cela rendra la laisse plus discrète » me dit-Elle. Autant dire que, malgré cet artifice, notre passage ne passe pas inaperçu. Nous retournons en direction du donjon persuadé, en ce qui me concerne, que c’était cela la surprise. Mais lorsque, arrivant devant le passage donnant accès au donjon, je fais mine de m’y diriger, un coup sec sur la laisse me fait rapidement comprendre que je ne suis pas au bout de mes surprises. Maîtresse me dit, sourire aux lèvres : « Un bon toutou suit sa Maîtresse. Il ne lui impose pas le chemin. » Je me résigne donc à me laisser mener où Elle le désire et nous voilà sur un boulevard menant vers les quartiers chauds de la ville. J’imagine mon exhibition en rue, parmi une population particulièrement chaude dont notre couple singulier ne manquera pas d’attirer le regard, mais j’étais alors bien loin de m’imaginer ce qu’Elle m’avait réservé. Sur le parcours, nous essuyons quelques regards appuyés et nous nous doutons que à peine dépassés, notre situation doit donner lieu à quelques commentaires, envieux des hommes, réprobateurs des femmes, même si la suite allait nous faire revoir notre jugement ! Au bout du boulevard se trouvent quelques sex shops dans lesquels Maîtresse décide de nous faire entrer. ...