1. Une journée au paradis.


    Datte: 16/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... nous voilà à l’entrée d’un cinéma porno qui annonce trois salles de projection. Je dois avouer qu’au point où j’en suis et connaissant l’inventivité de Lady Tana, plus rien ne m’étonne. Maîtresse me fait entrer, me suis, puis me fait payer l’entrée pour deux personnes avant de demander au caissier, aussi intéressé qu’amusé par la situation, où se trouvent les toilettes. Une fois renseignés, nous nous y dirigeons et Elle m’ordonne d’enlever mes vêtements « civil » pour reprendre ma tenue d’ «Antoinette, la reine des putes ». Je mets mes vêtements dans le sac vide dont je comprends maintenant l’utilité. Une fois prêt, Elle sort un masque vénitien de son sac à main et me le met. « Avec ça, pas de danger d’être reconnu » me dit-Elle. Et nous montons l’escalier pour pénétrer dans la première salle, déjà suivi par deux clients que notre manège intrigue. Dans la pénombre, nous apercevons quelques clients, la bite à la main, en train de se branler. Maîtresse se dirige vers un siège vide, me fait mettre à genoux à ses pieds et annonce à la cantonade. : « Si vous voulez vous faire sucer, allez-y, c’est gratuit ! Et si vous voulez le défoncer, n’hésitez pas. » Etonnamment, ce n’est pas la curée. Dans un premier temps, les hommes présents semblent plutôt surpris et curieux. Maîtresse me fait me lever, lève ma petite jupe de soubrette afin de montrer ma cage de chasteté dans laquelle se débat ma bite qui ne pourrait bander davantage, puis me fait m’incliner pour mettre en évidence mon ...
    ... cul engodé. Elle m’ordonne ensuite de garder cette position en m’appuyant sur le dossier d’un siège, sort un martinet de son sac à main et entreprend de me réchauffer les fesses en m’ordonnant de compter chaque coup. Petit à petit, les clients s’approchent se demandant s’ils peuvent, pauvres naïfs, se faire sucer par Elle. Elle remet rapidement les choses au point, ce qui en fait disparaître immédiatement quelques-uns. Elle me fait me remettre à genoux lorsque qu’un individu s’approche, la tige en main et la dirige vers ma bouche. Maîtresse me tend un préservatif que je lui enfile avant de commencer à le sucer. « Préviens lorsque tu vas jouir, il t’enlèvera la capote et tu lui cracheras dans sa petite gueule de pute ». Je m’applique. Plusieurs personnes s’approchent pour observer le spectacle. Mon cobaye bande de plus en plus fort et émet des grognements de plus en plus marqués. « Je viens ! ». Je n’ai que le temps de le « décapoter » et je reçois de longs jets de sperme chaud sur le visage et sans doute aussi, sur le masque et la perruque. « Un autre amateur ? » Personne. Tous retournent s’asseoir timidement pour reprendre leur plaisir solitaire devant un film de gouines qui se bourrent la chatte à coups de godes ceintures. « Viens Antoinette, il reste deux salles. » Nous entrons dans la seconde où se déroule un spectacle semblable et nous constatons que quelques hommes nous ont suivis. Ou ils ne sont que voyeurs, ou ils ne brillent pas par leur cohérence. Même moment de ...
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