Christine ou les infortunes du vice
Datte: 17/03/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
uniforme,
fsoumise,
contrainte,
facial,
Oral
fsodo,
jeu,
sm,
BDSM / Fétichisme
piquepince,
ecriv_f,
... hôtesse d’accueil, lors de notre arrivée au club » Ca y est, j’y suis et je me rappelle la jolie asiatique, grande, féline et pleine de classe et de charme qui nous avait guidés vers la salle de restaurant. — « Tu as décidément des goûts exquis en femme ».— « Ta modestie t’honore » Sourire complice. Paradis Me voilà partie sur les routes de campagne, la maison de Yumi m’a été présentée comme une maison de province à 1 heure 30 de Paris et je pars donc, carte sur les genoux vers cette attirante destination. Je débarque alors vers les 19h30 dans un village au Nord-ouest d’Orléans. Le village à l’air assez sage, correctement restauré, bref le parfait petit paradis pour ceux qui détestent la ville et supportent de faire trois heures de trajet par jour pour aller travailler. Dernière maison du village, un long chemin sur la gauche et j’entre dans une vaste propriété bordée d’un bois et de jardins magnifiquement entretenus. Difficile de ne pas être charmé par le bon goût affiché, la parfaite symétrie des fleurs, des arbres et l’agencement de couleurs et de nuances. Je me gare et viens sonner à la lourde porte d’entrée. Quelques secondes d’attente et il apparaît à la porte, un magnifique sourire aux lèvres et surtout une tenue de soie noire, pantalon et chemise qui tranche étonnement bien avec sa peau lisse et bronzé. Il est la parfaite harmonie entre le charme et à la puissance physique, enveloppée dans un gant de velours. Je suis accueillie par un baise main et il m’invite à ...
... rejoindre le salon. Nous entrons alors dans une vaste pièce, magnifiquement décorée de meubles sombres, d’ombrelles, de paravents de couleurs pourpres. Une douce lumière tamisée vient encore renforcer la chaleur du lieu, il y règne une atmosphère étrange de sérénité. Quelques bâtons d’encens enivrent mes narines. Yumi me débarrasse de ma lourde veste, d’un œil expert il évalue ma tenue vestimentaire. J’ai choisi une jupe plissée m’arrivant à mi-cuisse pour mettre en valeur mes hanches et ma chute de rein et un top au ras du corps, blanc, en matière souple qui épouse mes formes avec délicatesse. Il ne dit mot, je ressemble comme cela à une étudiante de première année qui à l’orée de l’automne entre à la fac, le sourire aux lèvres, sous les yeux gourmands des redoublants. Il est passé dans mon dos, un léger déplacement d’air hérisse doucement l’infime toison de mon cou et de mes épaules comme un souffle taquin dans le cou. Il se rapproche, se colle derrière moi et dépose tendrement quelques baisers dans mon cou et sur le haut de mes épaules nues. — « Je n’ai pas oublié notre soirée au club, comment oublier ton corps et nos caresses, tu es divine ». Il a murmuré, tendu et fébrile, je sens son odeur d’homme auprès de moi et la légère déformation de son pantalon de soie contre mes reins. Il me prend par ma main et m’attire vers le canapé, guide mes pas, encadre mes gestes pour me faire asseoir avec aisance et douceur. — « J’ai quelque chose pour toi de tout à fait particulier, j’espère ...