Christine ou les infortunes du vice
Datte: 17/03/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
uniforme,
fsoumise,
contrainte,
facial,
Oral
fsodo,
jeu,
sm,
BDSM / Fétichisme
piquepince,
ecriv_f,
... mouvement est un supplice. En me levant, l’intérieur de mes cuisses se resserre et chacune d’entre-elles presse de façon infime sur l’extrémité de mon sexe dilaté par les perles. Chaque pas dans la pièce et chaque mouvement sublime ses contacts de chair à chair et m’arrache des gémissements de plaisirs et de supplications. Je marche de façon grossière, presque arquée jusqu’à la table. — « Tu es un ange, quelques minutes et tu t’y habiteras. Ce sont des perles de geisha, le comble du raffinement et du respect pour une femme qui souhaite marquer son attachement sexuel à un homme, une vieille coutume asiatique, tu es la première autre que ma femme à qui je les confie ». J’ai rejoins une chaise de la grande tablée du salon, à peine me suis-je assise que la pression de mon sexe outrageusement dilaté et ouvert entre en contact avec le bois dur du meuble, je gémis à nouveau de plaisir. Je suis rouge de honte, cette situation est à la fois terriblement humiliante et excitante. Il s’installe en face de moi et nous sommes servis à table par un maître de maison en tenu qui nous annonce le menu du soir : caille rôtie au foie gras et délice de sorbet aux agrumes. J’aurais parié pour ce mélange de saveur et de légèreté, mon hôte a décidément vraiment bon goût. Nous restons plusieurs minutes à déguster le menu sans un mot. Le repas se prolonge par un alcool dont je ne connais pas le goût, fort et goutteux à la fois. Cet effet, conjugué à celui du vin et de l’encens me fait légèrement ...
... tourner la tête. Nous restons à déguster le repas, les yeux dans les yeux, sourire complice et regard glamour. Yumi a subtilement déchaussé son pied et caresse ma cheville, le contact est électrique. Doucement, il remonte le long de ma jambe, cette caresse m’excite diablement et un frisson parcourt mon dos, sous la flanelle blanche. Le manège se prolonge, mon trouble aussi, son pied remonte irrésistiblement, il frôle ma jupe, la dépasse et soulève le tissu. Au fur et à mesure que son pied approche mon sexe, je bascule la tête en arrière et gémis doucement. À la seconde où il frôle la fine culotte de dentelle, Yumi intime une infime pression avec son pied sur le petit sous-vêtement, je me cabre sous l’effet conjugué de son pied et de la pression des perles. Il accentue doucement sa caresse, glissant subtilement l’extrémité de mon pied entre ma culotte et mon sexe. Avec une précision diabolique il explore chaque centimètre de chair dilaté pour accentuer l’effet des perles sur et dans mon sexe. Après quelques minutes de ce long ballet de caresses et de soupirs j’explose brutalement sur la chaise en gémissant. Une abondante éjaculation féminine est venue tremper ma culotte et souillée la chaise. Ravi, il s’est levé et contourne la grande table. — « Madame, et si nous passions à côté, votre compagnie dans ma couche me comblerait » Un sourire complice et un petit clin d’œil lui répondent. Il m’a porté triomphant jusque dans sa chambre. Nous croisons le domestique qui a fait le service. — ...