Christine ou les infortunes du vice - Histoires de Sexe

Christine ou les infortunes du vice

... « George, que l’on ne nous dérange pas »— « Bien monsieur, bonne soirée ». Je suis cramoisie de honte. Yumi m’allonge sur un grand futon qui trône au milieu de sa chambre. La pièce est très sombre aussi bien à cause de la teinte des meubles que de la lumière tamisée. Soudain on frappe à la porte, une jeune et belle asiatique, en tenue de femme de maison fait son entrée dans la pièce avec un petit tas de linge frais et un sac de jute qu’elle dépose au pied du lit. D’un infime signe de tête, Yumi semble signaler son approbation. Avant que je n’ai compris, la soubrette relève ma jupe et fait glisser rapidement ma culotte de dentelle. — « Ma chérie, laisse Shumi faire son travail ». La jeune beauté a sorti du petit sac un petit string de dentelles noires. Avec ses petites mains agiles, elle attrape un linge blanc et le fait glisser entre mes cuisses pour essuyer toutes traces de ma jouissance. Le petit linge frotte contre mon sexe gonflé par les perles et je ne peux m’empêcher de gémir à chaque passage. Cette toilette intime prend fin trop vite à mon goût tant ces attentions sont douces et câlines. Elle termine en ôtant ma jupe et le petit top blanc. Quels autres délices cette jeune femme de maison maîtrise t-elle ? La jeune femme fait glissé le string, trop serré pour moi, entre mes cuisses, elle me fait signe doucement et me place en position de levrette en imprimant une infime pression sur mes épaules. — « Mes services vous conviennent-ils madame ? »— « Merci Shumi », c’est ...

... Yumi qui a répondu pour moi. En une fraction de seconde la jeune fille disparaît du tableau, tête basse, après un rapide salut à son maître. — « Mon dieu comme tu es belle comme cela, tes hanches et tes reins sont un ravissement ». Il s’est rapidement rapproché, placé derrière moi et caresse déjà mon dos et ma nuque. Ses pouces descendent le long de ma colonne vertébrale, puis remontent, enfin ils redescendent à nouveau pour finir au niveau de mes reins. Avec une précision exquise, Yumi a placé un doigt sous la dentelle du string, dans mon vagin, entre la paroi et les perles, cette seule intrusion m’arrache un râle, il intime un infime va-et-vient au sein de mon sexe et déjà j’ai basculé la tête en arrière sous le plaisir. Sa bouche vient trouver mes épaules, mon cou et bientôt sa langue traverse chaque parcelle de mon dos nu. Il évite soigneusement de dégrafé mon soutien-gorge et descend jusqu’à la raie de mes fesses, partiellement barrée par le petit string noir. A la manière d’un hardeur, il déplace la petite pièce de tissu sur le côté et sa langue prend possession de mon petit trou. Ce n’est pas un petit suçon pour m’excité, ni un passage rapide mais bel et bien une préparation pour chevaucher mes reins. Avec une malice certaine, Yumi prolonge la présence des perles de Geisha entre mes cuisses. Doucement, il fait tomber son pantalon de soie noire, il dégage son sexe fin et imberbe et le présente entre mes fesses. Je gémis honteusement quand il branle doucement son sexe en ...