1. LINGERIE FINE lingerie coquine 1


    Datte: 18/08/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... idée bizarre. Oui, je suis déçu; j’aimais tellement ta toison pubienne, mes doigts se mêlaient si volontiers à ces poils et avec délices. Et leur odeur s’en est allée avec eux. Tu aurais pu me consulter - C’est bien ce que je craignais, tu n’apprécies pas. Mais tu verras, quand nous ferons l’amour tu ne pourras plus blesser ton gland sur un poil mal placé en travers de ta route. Et ça repousse, tu verras grandir les nouveaux si tu insistes. Mon maquillage n’est-il pas outrancier ? Lulu se fait la main, ne domine pas encore le sujet. Ça fait peut-être un peu pute ? Oui ? Non ? - Ce n’est pas très discret et c’est si contraire à tes habitudes. Pute ? Tu as sans doute raison, c’est très voyant, criard, au bord de la provocation. Bof, de la fantaisie parfois c’est bon, ça agrémente ou , comme tu le dis, ça pimente les relations dans un couple heureux. - Tu le penses aussi ? Ouf ! Tout ne peut pas être parfait du premier coup. M’en veux-tu d’avoir permis à Lulu de s’entraîner ? - Que non ; puisque ton accoutrement et l’épaisseur de la couche de crèmes, de pommades et d’autres ingrédients autour des yeux te confèrent un charme nouveau et terriblement émoustillant. Je me sens gonfler et tu vas en profiter sans attendre. Ah, ce string si indiscret, comme il me fait bander. Mais, mais, .. il se divise en deux dans l’étroitesse de ton sexe. Mon doigt sépare les deux bandelettes et touche ton puits d’amour tout humide et brûlant - Arrête, cesse de remuer ton doigt dans mon vagin. Pas ...
    ... maintenant, s’il te plaît; le repas est prêt et refroidirait. Attends ce soir, ta patience sera récompensée. - Tu me demandes l’impossible. Après avoir allumé le feu, tu fuis ? Le repas se réchauffera plus vite que ne pourrait baisser l’intensité de mes envies. Viens dans la chambre et éteins naturellement l’incendie que tu as propagé dans mon sang. - Ce n’est pas raisonnable. Tu vas te mettre en retard. Et tu vas démolir ma coiffure à peine terminée. Enfin dans ta fougue tu risquerais de déchirer ou souiller ma lingerie fine toute neuve. - Où est le problème ? C’est vrai, je n’avais jamais vu cet ensemble blanc. C’est sans doute très cher ? Si je l’abîme, je t’en offrirai un autre, n’aie pas peur. Plutôt noir ou rouge, ce sera moins salissant. - Je ne sais pas ce que cela vaut, c’est un cadeau ! - Un cadeau ? Oh ! Quelqu’un te fait des cadeaux de ce genre. Tiens, j’aurais cru que ce type de cadeaux était réservé aux maris. Il faudra que j’y pense, je n’aurai plus à me creuser la tête en certaines circonstances. Un string pratique, avec ouverture pour laisser passer le petit oiseau, hé, hé : « Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux », un soutien gorge qui ressemble plus à un présentoir qu’à un soutien réel, un porte jarretelle pour marquer la minceur de la taille et maintenir les bas sans plis. J’aurais dû y penser depuis longtemps ! Je retiendrai la leçon - Tu as raison. Merci de t’en rendre enfin compte ! Ne fais pas cette tête, ce n’est pas ce que tu soupçonnes. Mon amie Claudie ...