LINGERIE FINE lingerie coquine 1
Datte: 18/08/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... en vend dans son salon. C’est Lulu, l’apprentie, qui m’a offert cet échantillon gratuit de la part de sa patronne, pour me remercier du service que je leur rends. Voilà de quoi t’expliquer la valeur sentimentale que j’attache à ce lot de lingerie intime. Ce soir je retirerai tout ça et tu feras de moi, tout ce que tu voudras, mon cher mari. - Au diable le retard. Je ne peux plus repousser à plus tard ou à ce soir le moment de te prouver mon ardeur amoureuse. Nous aurons vite fait d’enlever tout de suite ces quelques millimètres carrés de lingerie fine. Tourne-toi, je sais retirer les agrafes, tu me l’as appris. Vite, plus de soutif, plus de porte jarretelles. Maintenant la double surprise, permets-moi de baisser le string, appuie tes mains sur mes épaules., laisse-moi faire. - Grand fou ! Chéri, ne caresse pas trop fort mon pubis; le feu du rasoir de Lulu rend cette région très sensible. - Hé ! Il faut souffrir pour être belle. Sous mes doigts je découvre la douceur soyeuse de ta peau, là devant et aussi, là dessous, sur la vulve, et sur les fesses. Ca me pousse à un jeu de mots éculé mais si adapté, tu as « la peau lisse au cul » mon amour. Je t ‘adore. - Tu vois que tu changes d’avis, cela t’émeut et t’amuse. Pouvais-je espérer mieux ? Non, je ne regrette rien. Reste le problème de mes bas. - Lève un pied, je roule le bas blanc, l’autre pied. - Tu triches, tu me fourres un doigt quand je suis en déséquilibre sur une jambe. Ohhh! - C’est tellement tentant de voir bâiller ta ...
... moule. Dis que mon doigt te blesse; Lulu n’a quand même pas fourré son rasoir ou son fer à friser dans ton sexe pour s’entraîner à mieux servir ses clientes? Elle serait déjà lesbienne ? Donnerais-tu dans ce genre d’aventures, tu m’inquiètes. - Quel idiot tu fais. Oh! Non ! Chéri, c‘est trop bon. Cesse de baratter ma cramouille ou je vais pisser sur ta main. Non, c’est trop bon. Oh ! - Ce n’est jamais trop bon. Ne traînons plus. Allons au lit - Mais, ma coiffure ? A peine réalisée, elle sera foutue. - Réfléchis, tu n’es pas obligée de te coucher sur le dos. Je peux te foutre sans détruire ce bel agencement . La couche de spray garantit la solidité de la construction capillaire si précieuse. D’ailleurs si je te prends en levrette ta coiffure ne souffrira pas. Si je me couche sur le dos, tu m’enfourcheras sans défaire le montage auquel tu tiens tant; debout, que tu me montres ton nombril ou ton cul. Ensuite mains au mur, prise par derrière tu jouiras mais ta coiffure ne sera pas tellement secouée; debout encore, enfilée par devant ou de côté,une jambe en l’air, accrochée des deux bras à moi, ou à la rambarde, tu ne risqueras pas de te dépeigner. Et puis, quelle importance, même cheveux dépeignes, ce soir je t’aimerai toujours aussi fort. - Puisque tu le veux. On serait peut-être mieux au salon, sur le canapé ou sur le tapis ou encore sur la table basse - Peu importe le lieu, pourvu qu’on ait l’ivresse ! Choisis l’endroit et l’ordre des positions, je me sens disposé à accomplir ...