1. 54.2 Les envies de Jérém (deuxième du nom).


    Datte: 18/03/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... fesses, les écartent, ses pouces ouvrent les parois de mon entrée de plaisir, s’y faufilent, provoquant en moi des frissons géants ; c’est la première fois qu’il me fait ça, et c’est rudement bon. Et lorsque le gland remplace ses pouces, sa queue glisse en moi sans trop de difficulté. Définitivement, mon entrée de plaisir est faite pour recevoir cet engin dur comme du béton armé. Il commence à me tringler ; son gland laboure mes entrailles, sa queue martèle mon trou vibrant ; ses couilles frappent violemment mon entrejambe ; ses coups de reins me secouent de fond en comble, sa puissance et sa fougue de jeune étalon me défoncent, me démontent carrément ; sa queue me remplit, m’envahit, me comble, me fait du bien. Ces retrouvailles sexuelles me font un bien fou. Mon Jérém sait manier sa queue comme personne, et au fil de ses coups de reins je ne suis plus qu’une torche qui brûle de plaisir. Vraiment, le sexe avec mon Jérém est une drogue puissante qui me met dans un état second, dans un état d’altération de la conscience. Je ne suis plus maître de moi. Mon maître, c’est Jérém. Et ma drogue, c’est sa queue. D’autant plus que ça fait dix jours que je ne l’ai pas senti en moi, d’autant plus que ses mains agrippent désormais solidement mes épaules pour prendre appui et envoyer des coups de queue de plus en plus profonds et puissants. C’est tellement bon. Sacré couillu, putain… Et alors que je chauffe depuis un long moment, soudainement je m’embrase : les décharges électriques ...
    ... provoquées par les frottements de sa queue dans mon entrecuisse se propagent sur toute ma peau, rebondissent illico dans mes tétons, elles explosent dans mon cerveau dans un grand feu d’artifice ; et je sens la boule brûlante monter de mon bas ventre. Pendant un instant, qui me paraît une éternité, je suis suspendu entre l’excitation extrême et l’attente d’un plaisir qui s’annonce si intense que mon corps semble comme effrayé de le sentir passer. Ma respiration semble s’arrêter, mon cœur avec. Et puis, je jouis. Je sens ma rondelle se contracter autour de sa queue au gré de mes éjaculations. Le plaisir est tellement intense que sans m’en rendre compte, mes râles de bonheur doivent dépasser le seuil de décence pour un logement en ville ; ça doit être pour cette raison que le bogoss porte sa main sur ma bouche pour me bâillonner, tout en me pilonnant de plus en plus puissamment. J’adore. Un instant plus tard, il jouit à son tour dans un grand râle, le rugissement de sa jouissance ; nos jouissances s’enchaînent ; et là, faute de le voir, je le sens presque jouir, déverser sa bogossitude, sa puissance virile en moi. La tempête de sa jouissance passée, le bogoss s’affale sur moi, le front trempé posé entre mes omoplates. Mais cela ne dure qu’un court instant, le temps de revenir à lui. Très vite, il sort de moi, s’allonge sur le lit ; enfin, il se laisse tomber lourdement à côté de moi, visiblement épuisé, la respiration rapide et profonde, tout transpirant, tremblant, la déglutition ...
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