1. Accueil des déshérités 7


    Datte: 19/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... aimer aussi souvent que vous serez ensemble. Il m’arrive parfois de faire l’amour à mon épouse. André, c’est tout ? - Lili a été harcelée sexuellement par son hiérarchique un dénommé Louis qui a exigé une relation sexuelle dans mon lit. C’est une faute lourde. - Je le vire lundi. C’est sur le document ? Je signe. Ce gros cochon a harcelé ma secrétaire, quelle audace ! Autre chose ? - Trinquons à ces accords. - « Tout est bien qui finit bien » philosophe Henri. Il sera trop tard pour l’opéra, mais en roulant maintenant nous dormirons à l’hôtel et serons sur place demain. Marie peux-tu te préparer ? - Tout de suite. André accompagne-moi, tu me donneras un coup de main pour m’habiller. Je la suis, elle se renseigne : - Comment c’est ? Le break est fini ? Tu reviens vivre avec moi ? Tu m’aimes toujours ? Moi je te dois tellement. Je t’aimerai toujours. - Garde tes promesses pour Henri. Le break est fini, je te quitte. Mais dépêche-toi, la voiture vous attend dehors. - C’est vrai, j’oubliais. Mais on ne peut pas se quitter comme ça. Embrasse-moi, serre-moi dans tes bras. - Tu veux rire, il y a deux minutes tu étais en sandwich dans les bras des deux autres et tu gloussais de bonheur. - Qui l’a exigé ? Toi André ! - Qui n’a pas voulu refuser. Tu n’as même pas essayé de refuser. Et tu as joui. Ta jouissance avec eux m’a humilié, brisé. - Tu avais les atouts, je subissais. - Je te les donne ces atouts. A toi de jouer. Efface les photos dans mon téléphone. J’ai déjà nettoyé mon ...
    ... disque dur. Prends cette boîte, elle contient tous les tirages existants. Tu peux en disposer librement. Tu peux les déchirer et perdre tout pouvoir sur Henri ou tu peux les garder pour conserver ta nouvelle place, parader à ses côtés et entretenir votre libido. - Merci. Mais toi, resteras-tu avec moi ? - Quel serait ma place ? Je serais ton majordome, je te préparerais pour ton coucher avec Henri, j’essuierais ton corps trempé de sueur après l’amour avec ton amant, je vous apporterais le petit déjeuner au lit, je ferais laver vos draps souillés de sperme, j’écouterais vos roucoulements et les exclamations de tes orgasmes sous ton quinquagénaire friqué, je ferais tes courses ou j’attendrais que tu reviennes de voyage. Ou je porterais tes valises. Tu me gratifierais d’un sourire quand tu serais heureuse d’avoir joui avec ton amant. Je pourrais m’aligner là-bas dans vos glory holes avec l’espoir de te pénétrer si le sort m’attribuait le bon trou. - Oh ! Le mauvais esprit. Henri n’a plus la forme nécessaire pour me saillir tous les jours. Donc nous dormirions ensemble une ou deux fois par semaine. - Et tu me donnerais la permission de me masturber les autres jours ? Je regrette, ce programme ne me convient pas. Je te quitte. - Pourquoi alors avoir imposé ces conditions ? Pourquoi ensuite te défaire de tes moyens de pression et pourquoi me les remettre ? - Parce que j’ai vu avec quel enthousiasme tu acceptais les propositions de ton patron. Parce que tout est foutu entre nous. - Ne ...