Duel au soleil levant
Datte: 20/03/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... près de ta nuque. Je respire tes cheveux, je frotte mon nez dans ton cou. Pas de réaction. Mon doigt descend le long de ton échine. Premier indice, tu frissonne … Second indice, ton visage s’éclaire d’un sourire. Tu t’es trahie ! Je remporte la première manche ! Tu te retournes et tu me regarde, tes cheveux en bataille, ton visage d’éternelle adolescente. Tu déposes un baiser sur mes lèvres et tu te recouche sur le dos : - Déjà réveillée ma chérie ? Hypocrite, je me sens obligée de te poser la question, pour noyer le poisson, comme pour te faire croire que tout ça est dû au hasard le plus pur. - Oui, je suis déjà réveillée, me réponds tu pas vraiment dupe. Mais je crois que je vais me rendormir Voilà une contre-attaque bien tentée, mai vouée à l’achec ma chérie. Tu tentes de te retourner sur le côté en me tournant le dos, comme tout à l’heure. Je te retiens, d’une pression sur ton épaule, je te maintiens sur le dos. Sans te laisser le temps de préparer ton coup suivant, je me penche sur toi et dépose ma bouche sur la tienne. Ma langue se fraye un passage entre tes lèvres à la recherche de la tienne. Tu passes tes bras autour de mon cou et tu m’attire plus près de toi. Une nouvelle manche de remportée pour moi. Nous nous embrassons longuement. Au milieu de notre étreinte, je me suis couchée sur toi. Tes mollets s’enserrent autour de mes reins. Cette fois, c’est moi qui suis ta prisonnière. Tu reprends l’avantage. Nos seins se frôlent pendant notre baiser. Tes tétons ...
... agacent les miens. Je suis loin d’avoir dit mon dernier mot. Ma bouche a délaissé la tienne, Je viens de glisser ma langue dans ton oreille, je suce le lobe, je descends dans ton cou, ton épaule, ta clavicule, embrassant, léchant, mordillant tout ce qui se présente à moi. J’ai pris dans ma paume un de tes petites seins, le gauche, mon préféré, celui avec le grain de beauté à côté du mamelon. La réaction ne se fait pas attendre. Je sens instantanément le téton se durcir et s’ériger sous ma caresse. Ta bouche laisse échapper un gémissement. Tes mollets croisés au-dessus de mes fesses me sert encore plus, nos ventre sont collés l’un à l’autre, tes mains autour de mon cou descendent dans mon dos. Tu me frôle l’omoplate du bout des doigts, dans une caresse aérienne qui a le don de me provoque des frissons. Tu positionne tes mains sur mes hanches, comme si tes mollets ne suffisaient pas à me retenir prisonnière. Parvenant à m’extirper en partie de ta prise d’immobilisation, j’arrive à descendre ma bouche, jusqu’au téton que j’ai fait réagir il y a trente secondes avec ma main. Il est tout dur entre mes lèvres. Je le suce, passe ma langue autour, le suce à nouveau, le lèche à nouveau, le mordille. Un petit coup de langue sur le grain de beauté que j’aime tant. Ma main se pose sur ton sein droit, je saisi l’autre téton entre deux doigt et je l’agace pour le préparer à la caresser buccale à venir. Il est tout raide quand je le prends dans ma bouche. Il va subir le même sort que son frère ...