Carole
Datte: 20/03/2019,
Catégories:
ff,
frousses,
fête,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
intermast,
Oral
Lesbienne
... que je me caresse distraitement en attendant son retour sur terre. Nos ébats ont trempé mon string qui gît à terre, inutile et encombrant. Elle ouvre un œil et sourit : — Tu m’as fait quoi, là ? Son air faussement fâché est absolument craquant. — Jouir, je crois, non ?— Tu peux en être sûre, me rassure-t-elle.— C’est la première fois que je suis comme cela avec une fille. Mais tu m’as trop fait craquer avec tes yeux verts, me justifié-je. Elle sourit, flattée et m’attire vers elle pour un baiser tendre et sensuel. Sa main caresse le creux de mes reins déclenchant des frémissements exquis. Je gémis, me colle à elle, mais bientôt, je retombe sur terre lorsqu’elle me prévient. — Je ne suis pas libre. Elle revient demain. J’accuse le coup, mais ne le montre pas. Avec un sourire gourmand, je lui fais part de mes projets. — Alors je vais profiter de toi encore une fois. Elle répond à mon sourire et me repousse doucement sur le dos avant de partir à la découverte de mon corps qui ne demande que cela. Je me laisse faire. Sa bouche est légère et ses mains sont douces. Je découvre de nouvelles caresses, de nouvelles positions. Nos bouches se croisent parfois, nos sexes se collent souvent et nos mains ne se quittent plus. Je gémis lorsque sa bouche explore mon sexe trempé. Sur le dos, je m’offre. Je la regarde me lécher, cette rouquine aux yeux d’émeraude. Je me cambre lorsque ses doigts rejoignent sa langue pour une caresse combinée affolante. Je me tortille, mais elle me retient. Je ...
... suis sa chose et j’adore. Ferme sans être autoritaire, elle change de position se plaçant sur le dos. Un instant interdite, je la regarde, mais comprends aussitôt ce qu’elle désire. Elle me guide en saisissant mes cuisses pour me faire asseoir sur sa bouche. Sa langue pointue se fiche sans prévenir dans mon sexe béant. Je gémis, fermant les yeux pour mieux profiter de ses sensations indescriptibles. Sa langue est diabolique variant les effets, les pressions, les sensations. Je coule sur elle. Je dois lui inonder son beau visage, mais je m’en moque. J’ondule lentement me caressant les seins. Je lâche un cri en pinçant mes pointes dressées. J’ouvre les yeux et je LA vois… Vic est sur le pas de la porte et nous observe, une main active sous sa robe. La belle se caresse en nous matant. Je ne me dérobe pas et lui souris, la tête de la rousse entre mes cuisses. Elle me voit me faire lécher par une femme et elle aime cela au point de se masturber. Cette exhibition volontaire m’excite. J’encourage Carole qui s’active entre mes cuisses, inconsciente de ce qui passe. Sa langue agace mon clitoris lançant mon ultime cavalcade bruyante. Je gémis, je crie tandis que mes mains martyrisent mes pointes. Et je jouis… longtemps, brutalement, mais je ne ferme pas les yeux, en totale communion avec Vic dont la main traduit l’imminence de son orgasme qui survient peu de temps après me mien. Elle jouit en silence se mordant la main inoccupée. Je lui souris, prenant conscience que je viens quasiment ...