Valérie - Fin de soirée au bureau
Datte: 20/03/2019,
Catégories:
Épouses affectueuses,
... con! -Tu pourras me traiter de tous les noms tant et aussi longtemps que je pourrai te sauter. Le patron semblait toujours garder une carte dans sa main. Pour montrer sa supériorité, Leroy se colla complètement sur Valérie. Son ventre replet lui réchauffait le dos arqué. Poussant plus fortement, elle le senti saisir sa chevelure être tirée par homme. - Mon chéri... Il arrêta un instant de la pistonner. - Tu vois où on est? - La ville est magnifique. Tu es magnifique Francis. - Dans l'autre pièce, juste à côté... - Tu m'amèneras dans ton lit professionnel, sale pervers! - Pas tout a fait... Dans la pièce, il y a ton futur mari. - Pourquoi me parles-tu de cela? - Je veux que tu m'implores de te baiser. Même quand il viendra ici rapporter les documents. - Mais c'est impossible! Leroy avait arrêté de sauter Valérie. Maintenant, il la mettait au défi, on ne peut plus clairement. - Mais... Toujours plaquée, elle le sentait la comprimer contre ce mur transparent avec son torse, mais il se retirait que de sa chatte! L'idée de se faire prendre sur le fait par Marc ne l'intéressait pas. L'idée d'une deuxième portion de cette trique jouissive lui plut davantage. Valérie tenta d'épouser le corps du directeur, mais il était plus grand et sa queue séchait presqu'entièrement à l'air libre. - Baise-moi! Flairant le stratagème, il posa sa question à nouveau. - Marc va te voir me baiser - Très bien. - Maintenant saute-moi! Son gland rentra au bercail et il maintenu sa poigne sur Valérie. ...
... Prise ainsi, elle était étampée en même temps que percée. Les chauds lapins s'activaient comme jamais. Secrètement, la jeune femme cherchait à le faire jouir le plus rapidement possible. Lui cherchait à modeler la volonté de Valérie pour qu'elle se plie le plus souvent possible à ses désirs. Son meilleur atout était son as caché et détrempé au plus profond de la jeune femme. Jouxtant son visage trempé, Valérie s'imprégnait de la raclée érotique que le patron lui imposait avec sa rythmique parfaite des hanches. Ainsi accolés, il sentait qu'elle s'approchait du à nouveau du précipice orgasmique. Sa respiration bruyante signalait ses efforts alors que c'était lui qui la pénétrait vigoureusement. Elle embuait la vitre tellement Leroy traitait sa moule passionnément. À travers la vitre de la porte du bureau mal éclairé, Marc avait vu que son patron faisait l'amour à une femme. La silhouette était élancée, avec une forte poitrine. Son patron avait du goût! À la vue de ses mains en l'air et prise contre la paroi de verre, la femme semblait être la proie d'un hold-up. Il était attentif, mais avait peur d'être pris en flagrant délit de voyeurisme. La coquine ne ressemblait pourtant pas à l'une ou l'autre des conseillèrent du patron. Il retraita à son bureau et se décida à appeler Valérie. Le répondeur lui indiqua l'absence ou, pire encore, la colère de sa fiancée qui ne veut pas lui parler. L'eut-il appelée du corridor, il aurait entendu la sonnerie de l'autre côté, dans le bureau de son ...