1. Valérie - Fin de soirée au bureau


    Datte: 20/03/2019, Catégories: Épouses affectueuses,

    ... patron. Aucun des deux amants ne vit l'observateur : trop occupés, comme la chatte de Valérie. Moite, elle avait le corps qui mijotait. Elle attendait quoi? Que M. Leroy appelle son fiancé ou encore qu'il la fasse jouir? Valérie ne pouvait penser clairement, mais savait que les deux allaient se produire. M. Leroy tenait sa femme d'une main habile contre son sexe. Cela, il ne le savait pas. Ses petits cris, à peine étouffés par la porte close, lui parvenaient clairement à l'oreille. Marc aurait voulu s'excuser pour tout à l'heure mais elle ne répondait pas. Pourtant, elle était si près de lui dans la pièce au bout du corridor. Sa copine était solidement subjuguée au long pouvoir son patron. - Franis, je n'en peux plus! Donne m'en plus! Le traitement de sa batte lui faisait perdre toute retenue. Elle était prise sauvagement contre la ville. Valérie servait de passage obligé, jusqu'à sa garde, à un gland épais et colonisateur. Son corps nu portait les signes fiers des assauts de Leroy. Sa peau perlée était caressée autant par les lueurs nocturnes de la cité que par les paumes du patron. - Tu es fantastique! Au delà de la fusion de leur corps, Leroy percevait très bien les sentiments de sa maitresse. Toute sa déchéance et sa lente soumission lui montraient son réel tempérament. - Ma belle Valérie, la nuit va durer une éternité de bonheur. - Oui, continue... juste là. Sa chevelure rousse était la proie d'une de ses mains, agiles. Il la manipulait pour voir directement dans ses ...
    ... yeux l'impact érotique de ses pénétrations. S'il continuait ainsi elle aurait bientôt une crampe au cou à force d'être ainsi contorsionnée. Au moins, elle pouvait l'embrasser quand elle le voulait. Les yeux marrons du supérieur fixaient intensément ses propres prunelles azure. - Ouch! - Tu aimes ça quand je te pince les seins? - Vas plus bas. De l'autre main, il s'amusait avec le clitoris de sa poupée, remarquant immédiatement les bienfaits qu'il lui procurait. Tant le vagin serrant sa queue que les contractions des muscles de son visages irradiaient la pièce. C'était pour Francis Leroy une immense satisfaction de voir Valérie Montarville ainsi transformée. Il la sculptait de l'intérieur pour modeler son caractère rugissant. L'aventure se poursuivrait! Leur ballet durait depuis longtemps et Marc ne savait pas quoi faire. Il se doutait que son patron en aurait pour longtemps encore. Il n'y avait qu'une chose avec laquelle il n'était pas vite en affaires : savourer le sexe. Devait-il partir? Son patron avait été clair. Il avait la tâche de lui remettre ce contrat en main propre. La fatigue, l'angoisse de le décevoir et la dispute qu'il avait eu avait Valérie nuisaient à sa logique. Les vibrations des deux corps sur la vitre tendaient à faire résonner les échos de leur passion. On aurait dit qu'un léger tremblement de terre secouait le bureau. C'est alors qu'au plus profond de Valérie le patron de Marc fit irruption. La bête lâcha son vi dans sa belle. La rouquine servait d'alvéole ...
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