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Valérie - Fin de soirée au bureau
Datte: 20/03/2019, Catégories: Épouses affectueuses,
... directeur. La satiété des deux amants ne trouvait jamais de fin. Pour s'assurer de son assouvissement, Leroy avait d'abord insisté, en lui bloquant tout geste possible. Sa férule bien plantée, le mâle s'appuyait de tout son poids sur les hanches de sa proie. Elle ne put que se cabrer davantage pour signifier son extase face à l'action qui reprenait. Elle tentait de se déployer mais elle restait solidement fixée à la queue de son amant. Le rapide et profond forage de son gaillard la sciait en deux à en faire grincher les montants de la table. Prise depuis trop longtemps comme une vulgaire secrétaire, Valérie souhaitait reprendre le dessus. - Libère-moi, je veux que tu me prennes face à moi. - Tes désirs sont des ordres. - Pas si sûre! - Je suis au garde à vous! - Tu n'as vraiment aucune limite. - Avoue que cela t'a excitée. - Mais j'avais peur... Il était temps que Valérie mène le bal. Debout face à son amant nu, elle lui arrivait à peine au menton. Ne perdant pas de temps, elle le poussa sur sa chaise et il y tomba à bras ouverts. Telle une tigresse, la jeune rousse approcha et se faufila sur l'homme mûr. Ses cuisses de chaque côté de son mec, elle tutoyait du regard celui qui l'avait menée par le bout de sa queue. Leroy accompagna la descente de sa maitresse en empoignant ses seins copieux. Elle se guida du premier coup sur son bel obélisque. Faisant preuve d'adresse, l'étroite Valérie s'abaissa si lentement qu'elle vit sur le visage de Franck croître toute l'excitation ...
... qu'elle stimulait. Marc avait maintenant quitté l'immeuble et il se dirigeait vers la maison. Sa tête pleine d'images virevoltantes était aussi assombrit par la dispute avec sa fiancée. Valérie était à mille lieux de penser à de son copain. «Candy» se frottait les hanches contre la trique virile de Leroy. Elle agrippait fermement les accoudoirs de cuirs et la rouquine cherchait à se caler le plus profondément dans la chaise pour enfoncer le gourdin de Leroy. On voyait la silhouette féminine rebondir précipitamment sur le directeur qui lui massait tout le corps. Surtout ses seins généreux qu'il palpait passionnément. Francis n'oubliait pas son cul et ses hanches qu'il gratifia de quelques claques passionnelles. Le meilleur était le gout divin de ses auréoles dans la bouche. Le bout de ses seins durs pimentait leur soirée. Le staccato de Valérie résonnait dans tout l'étage. La chaise qui supportait cette dingue chevauchée était devenue leur ile déserte. Plongé dans la divine chatte, M. Leroy corrodait la sulfureuse femme cuivrée. Ainsi tenaillée, elle redoublait d'ardeur pour venir et revenir se consumer sur son amant. Il sapait en elle si pleinement qu'elle se contractait vivement pour réussir à maintenir la cadence. Valérie jouissait les yeux clos et les cordes vocales vibrantes. Enfin pleinement assumée, elle savourait l'instant d'infini qu'avait fait retentir en elle l'auguste Leroy. Il se repaitrait en faisant tourbillonner son bassin contre la moule de Valérie, cabrée. ...