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Valérie - Fin de soirée au bureau
Datte: 20/03/2019, Catégories: Épouses affectueuses,
... Heureux et prisonnier sous la femme de ses rêves, tel était la sentence de Francis. Encore enfouit et bien raide, le mâle terrible se remit en l'action. Les prouesses s'accumulaient et la valeur de chacun plaidait bruyamment pour une véhémence croissante de son partenaire. Son mince fourreau lui indiqua que son amant se redéployait à sa pleine grandeur. Elle le consommait ardemment alors qu'il empruntait des sentiers de travers et allait de chocs en commotions à travers sa chatte. Braquée ainsi, il savait qu'il était en train de redresser les tords qu'il avait causés auparavant. Déjà galvanisée, Leroy la ravivait en insufflant des ondes maléfiques à travers son corps. En contre-appel sur la chaise, elle se laissait éperonnée par la queue endiablée qui jetait de l'huile sur son feu sacré. Ainsi fouettée, Valérie cambrait le dos vers l'arrière, maintenue en équilibre sur la chaise par ses mains qui ferraient les accoudoirs et par la queue de Francis. - Tu es tellement magnifique! Pourquoi ne me marierais-tu pas Valérie? - Parce que ça ne serait plus excitant. Devant l'homme comblé, une femme aux formes parfaites et aux inhibitions suaves se fracassait contre lui. Les cuisses de Valérie surchauffaient à cause des efforts et de l'intensité. Le spectacle qu'elle offrait à Franck était celui d'une adulte téméraire aux seins drus. Ceux-ci voguaient sur son corps au rythme de la chevauchée. Il l'aidait dans sa croisade vers le plaisir par ses impulsions du bassin. Tous deux ...
... allaient à la rencontre de l'autre de manière redoutable. Leroy ajouta au délice de Valérie ses doigts agiles. Le terrible patron exaltait sa compagne par son savant doigté. Elle était transportée complètement ailleurs et il le savait très bien. Enivrée comme jamais, Valérie était survoltée de partout. Son manège contre la queue l'avait éminemment grisée. La bousculade répétée de Leroy contre son clito créa une secousse qui se répercuta dans son corps en entier. L'homme la maintenait arque boutée au carrefour du paradis et de l'enfer. Une main sur le bourgeon sacré, l'autre sur ses seins et sa queue bien enfoncée. Un petit pouce fougueux bien placé l'avait transportée au-delà de l'abyme. Le tourbillon de ses sens changea tout son environnement pour une vision trouble. Comme un corps ensorcelé, la rouquine semblait être en perpétuelles contractions euphoriques. C'est dans les bras de Francis Leroy que Valérie, crispée, vacilla avec ce râle unique. Totalement occupée en son sein, elle lui rappela une énième fois combien c'était extraordinaire. Entre ses cuisses enflammées, son sirop suprême se mélangeait à celui, fougueux, de Leroy. Le gland haut perché dans les circonvolutions tropicales de Valérie relâchait ses dernières perles par saccades. C'est en embrassant ses seins puis Valérie elle-même que la grande messe se termina. La fraicheur gagna le couple si bouillant. Leroy eut une dernière vision avant le départ de Valérie. Elle passa de l'état de complète nudité à celui de jeune ...