1. 49.6.7 Baise dans un vestiaire de rugby après match


    Datte: 21/03/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... puissant… tu es un véritable étalon… ». « Ta seule et unique envie c’est de te faire démonter le fion… ». « Oui, par toi… vas-y… démonte-moi ! ». « Je vais tellement te défoncer que tu ne vas plus pouvoir t’asseoir… ». « C’est tout ce que je veux… te sentir en moi longtemps après que t’aies joui en moi… ah, c’est bon… putain que c’est bon… tu me fais jouir comme jamais tu m’as fait jouir… ». Sa fougue est impressionnante… est ce que c’est l’effet dopant, la drogue puissante de la victoire qui le met dans cet état d’éphorie sexuelle ? Ou bien mes mots, mon attitude déchainées ? En tout cas, son entrain est un pur bonheur pour moi… « Tu prends ton pied, mec ? » j’ai envie de lui demander. « T’inquiète pour mon pied… ». « Il bon mon cul, n’est pas ? » je relance. « Il est toujours chaud comme la braise… ». « Toi aussi t’es chaud comme la braise… et t’es surtout chaud pour la baise… c’est pour ça que mon cul est si offert… il est tout pour toi… ». « Profite bien du voyage, ça ne va pas durer… ». « Tu aimes me baiser parce que j’ai une bonne bouche et un bon cul… ». « C’est ça… ». « Parce que tu peux me faire tout ce que tu as envie… parce que tu prends ton pied avec moi comme avec personne d’autre… ». « Je t’ai dit de pas t’inquiéter pour mon pied… je suis un mec… dès que ma queue est bien enserrée et au chaud, je prends mon pied… ». Petit con, va… tu vas voir… on va voir si mon cul est si banal… « Tu vas bientôt jouir ? » je me renseigne. « Je vais bientôt te farcir, oui… t’en ...
    ... as envie, hein ? T’attends que ça, te faire remplir… » fait-t-il, la voix de plus en plus méconnaissable, altérée par l’effort et l’excitation. « Oui… mais pas encore… ». Et, ce disant, profitant du fait que le bogoss a un peu relevé son torse et qu’il ne me retient plus que par les hanches, je me dégage de lui… j’ai envie de prendre les choses en main… je sais que mon geste est absolument fou, car, ne voyant pas son visage, il m’est impossible d’estimer à quelle distance le bogoss se trouve de son orgasme… le risque d’une jouissance ratée est réel, acte impardonnable à l’égard d’un si beau garçon, d’un si bon champion et d’un si bon coup… Je viens de me déboiter de lui mais je le sens encore en moi, mon trou béant, mon envie incandescente criant un manque violent… Je me retourne et je le regarde, désormais assis à cheval sur le banc, le torse incliné vers l’arrière, les bras eux aussi tendus vers l’arrière, les mains prenant appui d’une part et d’autre de la planche… toutes tablettes dehors, tout le corps brillant d’une fine couche de transpiration, la respiration rapide, la queue raide, humide, le visage et le haut du torse rougis sous l’effort, le regard chaud, noir… mais putain qu’est-ce qu’il pue le sexe ce petit con… Si c’était un tableau… il faudrait appeler ça… « La testostérone »… Moment de pure poésie, poésie à laquelle le bobrun, sans se démonter, ne tarde pas à porter sa savante contribution : « Ramène ton cul, dépêche-toi ! ». Je trouve sa réplique à la fois d’un ...
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