1. 49.6.7 Baise dans un vestiaire de rugby après match


    Datte: 21/03/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... ses mains sur mes fesses, amorcer le mouvement pour à la fois relever et faire reculer mon bassin, en vue d’une pénétration qui lui parait nécessaire sur le chemin d’une jouissance que son corps commence à réclamer de toutes ses fibres… « Shhhhh… laisse-moi faire… » je lâche tout doucement, sur le même ton avec lequel on tenterait de calmer un caprice de gosse. « Dépêche-toi de me faire jouir ! » ce sera sa sommation. Bingo. C’est moi qui le fais jouir. C’est moi qui a la clef de son plaisir… j’avoue que ça fait bizarre de penser à ma cousine dans cette situation… et pourtant… ses mots sont prophétiques… Je recule le bassin de mon gré, m’amusant à titiller son gland coincé entre mes fesses mais pas encore admis à venir dans mon puit de plaisir… mon attitude commence sérieusement à agacer le bogoss… j’adore… j’en profite pour enfoncer un peu plus le clou (verbalement parlant, ça va de soi) : « Tu le veux mon cul, hein ? ». « Tu me saoules ! » je l’entends lancer, agacé. « Vas-y, dis-le que tu en as envie… » je le harcèle, tout comme lui l’avait fait un peu plus tôt. « J’ai envie de te remplir le cul pour te montrer comment jouit un mec… » finit-il par aboyer en remontant le torse de façon menaçante, dans sa voix ce ton énervé qui le rend encore plus sexy… « Dépêche-toi ! » il ordonne. « Je vais te faire jouir, t’inquiète… » je le rassure, tout en portant à nouveau ma main entre ses pecs, l’obligeant ainsi à s’allonger une nouvelle fois sur le banc… un instant plus tard, je ...
    ... m’empale à nouveau sur sa queue et je recommence mes flexions sur les jambes pour permettre à la rondelle de limer sa queue et l’approcher de son orgasme… pour lui permettre de m’en mettre plein le cul… Bien qu’assez physique, j’adore cette position… c’est vraiment génial de pouvoir maitriser une sodomie passive… donner le tempo… voir s’afficher sur le visage du mâle, en temps réel, les vagues de plaisir que mes différents mouvements sur sa queue lui procurent… Je monte… je descends… je monte… je descends… j’observe son corps en train de chauffer de plus en plus… je sens que mon corps aussi est en train de chauffer dangereusement… je sens la transpiration couler de mon front, ruisseler sur mon nez… c’est un déchainement… ses mains puissantes agrippent mes cuisses, mes fesses… Je le sens bien en moi, je le sens comme rarement je l’ai senti… j’ai l’impression que son manche brulant est en train de remodeler mon intimité… mes flexions sont de plus en plus rapprochées… mes mains complétement débridées le caressent partout, s’attardent sur ses tétons, se promènent sur ses pecs, se font plaisir en effleurant ses joues, son menton, son cou… Le bobrun respire très fort, il ferme les yeux sous la montée du plaisir... ce plaisir qui monte grâce à moi… un plaisir qui monte également en moi, un plaisir qui a guidé ma main gauche, presque à mon insu, à se poser sur ma queue pour la branler vivement… Si c’est pas beau le voir grimacer de plus violemment, de voir sa respiration se transformer ...